La Reconquête De L'Alpha Volé

arbres, dessinant des traînées argentées sur le sol moussu. Je m'agenouillai, mes doigts effleurant les feuilles veloutées d'une plante de nuit – ses pétales luisaient faiblement, prêts

s pas mieux que les senti

lar

rs moi, ses cheveux auburn flamboyants, libres et sauvages, comme toujours.

'aube ! Toute la meute astique la salle d

épaules, esquis

mplir l'infirmerie

arrachant le pa

a cérémonie des âmes sœurs, c'est un événement u

eran te ch

faire trembler la terre – était absent depuis des mois, réglant des conflits avec les meutes vo

eprenant le panier. C'est la Déesse de la Lun

ous le mien, m'entraî

Pas comme ces louves avides de pouvoir qui se batte

ement faite pour lui. Lavande et

s forte. Une marque de guérisseuse, disaient les anciens. Mai

odeurs, mentis-je. Elle

un rire clair et vif. S'il te

t l'air. La meute s'affairait autour des feux de joie, accrochant des guirlandes de lierre et de tue-loup entre les cabanes. Les enfant

bras, son souri

vraiment p

me sœur, celle choisie par la Déesse de la Lune. Et chaque fibre de mon être

qu'il soit rentré sain

sèrent, mais ell

ara a besoin d'ai

de pierre au cœur du village. Ses portes étaient ornées de loups hurlants, leurs yeux luisant

*

rdai dans l'embrasure de la porte, observant les ombres de la meute danser sous la lumière des feux. Des rires fusaient de

Él

, ses tresses argentées enroulées comme des serpents.

de l'Alpha

Je... je suis h

n son, peu

lisse. Fais confiance à ton cœur, pe

répondre, elle dis

caressèrent les herbes séchées suspendues aux poutres – thym, sauge, racine amère – tandis que je

me choi

. Kieran était un chef, un guerrier. J'étais une guérisseuse, plus heureuse dans l

porte brisa

l'embrasure, tenant

, tu n'arrives

pe – du cidre épicé, doux et piquant. Nous nous assîmes par ter

loge de l'Alpha ? dit-elle en souriant. Tu étais c

'as poussée dans sa

fort que tu as réve

mais un rire m'échappa. L'espace

rire s'

e demain... on res

ouj

cidre, de clou de girofle et de

que tu es co

e me blottis dans mon lit, fixant la lune par la

ai-je. *Demain