La Reconquête De L'Alpha Volé
simple, sans ornement, conçue pour se fondre dans l'ombre. Ma peau me semblait étrangère, comme si la potion m'avait vidée, ne laissant qu'une
nna depuis la place,
saient, leurs flammes léchant l'air frais de l'aube. Des guirlandes de lierre et de tue-loup ornaient la loge de l'Alpha, e
t taire la foule. « La Déesse de la Lune sourit
eux gris orage balayant la meute. Mon souffle s'arrêta. Un instant, son regard s'attarda près de ma cac
lissèrent sur m
nait au centre, ses cheveux auburn tressés de rubans rouges, son parfum de lavande volé tourbillonnant autour d'elle comm
, sa tête se tou
linant avec grâce. Les bénéd
par le parfum dérobé. Sa main plana près de sa
cence. « Un cadeau de l
er, accuser, mais aucun son ne sortit. Quelle preuve avais-je
n se détendirent. «
u », déclama Taryn, ses ye
s pas lourds, mais son regard revenait sans cesse à Lila. À *mon
loup. *Cours. Mords. Repr
gée, un spectre d
ta devant Lila, le
a-t-il, bas
– une imitation parfaite de
t, l'attirant contre
iomphant de Lila me transperça tandis que Kieran levait sa main, leurs doig
remplacée par un froid qui rongeait mes os. Mes jambes bougèrent d'e
t et mes genoux cédèrent. Des haut-le-cœur secs me secouèrent, bien que j
. Naive.
e voulais même pas !* Mais je l'avais voulu – dieux, je l'avais voulu
t retentit d
lar
x de K
des arbres, éclairé par la lueur des feux lointains, l'odeur de Li
là ? dem
ns mon
nt, puis fronça les s
ransperça.
ns, disparaissant
rre. La terre ne répondit pas. La lune s'en moqua
arda pas à me
s dans le bois. Un avertissement. Je les effleurai de doigts tremblants, les échardes mordant
yeux baissés. Mes mains fonctionnaient encore. Mes
e comp
bras croisés. « Nous nou
ièvre doivent être remplies
harge. Elle n
amais recousu une plaie. «
ets, où les glandes olfactives pulsaien
nier m'échappant. Les pots se brisèrent, ré
erma l
*
, mâchant un pain rassis, quan
! Une voix
tra ses petits crocs. Sa mère l'éloigna, siffl
nt cendres d
*
uscule, ramassant du b
égoulinait de miel.
p grand, l'enveloppant – et empestait m
nnai-je, empilan
anchant comme une lame. « Tu as
usqu'à ce que l'écorce
leur sauvage, la faisant tourner. San
frappa. Luna
ouvriront, c
stin d'accouplement. Elle se pencha, son souffle chaud. Kie
dis, mais elle attrapa mon po
-t-elle. Personne ne cro
trébuchai, les racine
pha veut que l'infirmerie soit vidée. Tu dormiras dans
*
cassé, ma seule lumière un mince rayon de lune par une fenêtre fendue. Mon lit était un sac usé ; mes cou
i
ie
orge, brut et guttural.
*
s s'esto
les épaules en feu. Je mangeai des restes jetés hors de la cuisine. Les regards de la meute me suivaient, méf
je les
Kieran, bas et chaleureux. Des sons qui signifiaient
*
ut les hu
chœur féroce et magnifique. Je me cachais dans le cellier, les mains sur les oreill
it, je
ait unie, Lila aux côtés de Kieran, son bras autour d'elle. Son hurlement s'éleva en
ouvris la bouche, mai
saisit mo
é avait guéri. « Tu ne
. « Où irais-j
, cherchant mon odeur. Rien. « Tu a
'étouffa. « Je
n des lèvres relevé. Une vrai
foule, me laissant plu
*
oups les plus cruels
Kieran – un croissant – ornant son cou. « L'A
pas ta servan
na. « Pas
ntes. Kieran à peine leva les yeux, absorbé par chaque mot de Lila
laboussa
soupira Lila
essuyant la tache.
egard. Un instant, quelque chose v
, grog
de Lila me poursuiv
*
je trouvai le p
e de l'infirmerie, sec mais enco
ortant à mon nez, un léger murmure persis
ntômes peuv
ais fini d