Dark Union

hl

essayée dans la cabine sous le regard de cet abruti. Un enfoiré qui semble ne pas connaître les principes de la vie civilisée, puisque je me retrouve seule... enfin, accompagnée de s

ue les siens... je dirais même que je ressemble à un en-cas sur le menu des hommes, mais une allumeuse pour leurs comp

écrie une voix

et souriant de toutes ses dents... même cell

ant le rictus de dégoût qui m'assai

a ! me reprend-il, Tu vas bi

'esclandres. Celui-ci me présente aux couples qui l'accompagnent, et je joue les gentilles filles en les saluant le plus chaleureusement que je le peux.

ndue en présence de ton fiancé,

du serveur et je l'afonne en priant que celui-ci ne se presse pas... car si son père vient de

mon épaule dénudée et le contact de nos yeux est clair pour lui, q

e, que je n'ai pas osé vous déranger à haute voi

st pas dans mes habitudes, lui expliqué

el, je frémis plus que sincèrement. Il n'a rien à comparer à ce Jord... son regard est sincère et il a une présence qui impose, et cela tout en délicatesse quand il parle ou se mouve. Oh mon Dieu, si seulement, j'avais été forcée de l'épouser lui... je me

se fait désirer, affirme-

ot, déclaré-je en portan

prévisible, me fait part ce grand

s lèvres, alors que son sourire m'

obligé d'assister à ce genre de réception. Cependant, je ne comprends pas com

es vôtres, je n'y vois rien

e. Mais après tout, je ne peux pas jou

o

e suite que s'il essaie de me la mettre... je lui coupe les couilles. Je tire sur les bords de ma chemise noire, qui laisse arborer le

bond, m'avertit-il en

garce et ses responsabilités dans les pieds ! grommel

mble déjà bien lancé. Je m'attends à un discours de sa part sur mon irrespect... Cependant, autre

t cette

, elle se trouve sur la te

s que je viens de passer quelques heures à me détendre en torturant un père, devant la vue de sa fille soumise à mes vices. J'en ai encore un peu le goût sur mes lèvres, et cela n'est rien contre ce qu'elle a en souvenir de moi

Je ne supporte pas le champagne. Il faut dire que j

que vous voulez, vous ête

avec elle ?! lancé-je avec un

e que je lui ai choisie à la boutique. Malheureusement, celle-ci me donne une envie débordante de lui arracher pour lui apprendre à quel point, elle se

r, me fait remarquer Lorenz

dégage ! claqu

te dans son regard. Je grince littéralement des dents, et une fois qu'il nous laisse enfin, je glisse mes doigts tendus dans mes cheveux en jetant un œil autour de nous, av

iné-je de tout mon corps

es mains sur moi, je pré

nsion qui s'impose entre nous à cet instant, et je grim

oles, affirmé-je en pressant le

à ton père et aux familles, rétorq

?! Pourquoi je ne lis plus auc

hl

nc une bonne occasion d'en jubiler intérieurement. Car dans son regard, je confirme qu'il est pris de court par ma répartie, et ses doigts quittent mon cou pour rejoindre ses lèvres qu'il essuie, comme si je venais de lui cracher littéralement au visage. Il recu

joue pas avec lui, me fait

une menace... on dirait un avertissement à son enco

ire, rétorqué-je en rem

s brûlent mon poignet de la force qu'il y met et si je pensais qu'il n'oserait pas me faire subir le moindre

mon désir, grommèle

ve contre mes cuisses, celle-ci frôlant mon

ce qui te concerne ? m'interroge-t-il d'une

alors qu'il sourit tel un diable en scrutant la panique sur mon visage. Car oui, je suis paralysée de frayeur et complètement à sa merci à cet instant, et il en est plus que conscient. Il jubile littéralement de la situation... Ce mec va vraiment me saigner ici... Les larm

re subir à cet instant, et mes doigts se cramponnent au peu de tissus de ma robe, alors que je déverse mon angoisse et ma douleur dans mes larmes. La pression de ses lèvres me quittent et je me refuse de

répondre, je te saigne comme une truie c

me donner un morceau de tissu pour ne pas salir ma robe. Je l'observe avec terreur, alors qu'il s'allume une cigarette, tou

c qui tu essayes de jouer, sourit-il

que sa folie est peut-être tout ce qui aura raison de moi à l'avenir... Il est clair qu'il est fou... cepend