Dark Union
hl
maitres des rues de Boston, mais jamais, je n'aurai songé que mon père fasse partie de ce milieu. Et en voyant sa main où son index est manquant, je comprends qu'il fait partie d'un milieu des plus effrayants. Serrant mes doigts sur le jupon de ma robe, j'attends la sentence qui va me tomber dessus. Je vais certainement être vendue dans un de ces clubs où les femmes ne sont que de la chair fraîche pour les truands ou pires hommes de Boston. Mordant fortem
ontenir cette envie de balancer la table et de me sauver le plus loin d'ici. Une idée qui serait idiote... ils doivent avoir
tive le mec qui vient d'arriver, Il est hor
claque l'
te que c'est encore pire que ce que je pensais, et je porte ma main pani
je désire ! s'exclame le mec dont les veines
a place qu'il occupait. Et tu sais que da
d'accord pour éduquer une horreur comme lui ! Et puis, c'est quoi tous ces tatouages qui ne ressemblent à rien sur sa peau. Je s
o
été convenu que je me marie et que je prenne une place à la table de la famille. Il était clair que je m'occupais des affaires entre gang et que je vivai
is te marier et offrir une descenda
enf
mais de là à lui faire un bâtard, il est clair que ce n'est pas du tout dans mon programme. J'amène ma ma
uestion que je por
otti s'écrase sur la joue de sa fille qui se
ous lui direz, s'excuse-t-il la tête baissée
yer de récupérer son bras, si je
ouser cette chienne, enchéris-je alors q
grommèle-t-elle à son tour et elle ra
s, tu iras en Angleterre y fair
is les pieds là-bas. Une promesse que j'ai faite sur la tombe de ma mère à s
i, Dahlia, c
genoux devant lui avec son père, afin de lui relev
de tes parents, avant
mmes voués à l'écouter et à faire tout ce qu'il demande. Un bâtard... Si je tenais l'enfoi
ut mon père en se levant et je grimace d
c mon frère ! Non, je serais propulsé
u demain, m'apprend-il a
le craign
ar dire en sachant que
ans nom. Tu veux un héritier pour perdurer la famille...
hl
s pas le choix, je n'ai pas su retenir ma langue. Mes genoux toujours sur le pavé du sol, je n'arrive pas à prendre la décision de me relever... Je suis anéantie... Ma vie était déjà limitée en liberté... et là... elle vient de me rendre captive d'un porc. L'idée qu'il porte ses mains sur moi me donne la
ve-t
s plus pour qu'il m'attrape les cheveux, me for
claque-t-il en tirant ma q
engourdie... Cependant, je n'ai pas l'occasion d'essayer de me reprendre que ses doigts se portent durement à mon cou qu'il serre, amena
u recevras de moi si tu te permets de me répondre, tu dev
s de lui. Un mouvement qu'il ne semble pas apprécié, puisque ses
main et je ne toucherai plus jamais
ire. S'il savait à quel point cela est réciproque. Rien de ce monstre n'est attirant. Il ne me donne que l'envie de vomir... lui et ses tatouages dégoutants tout comme ses pier
la ramènes à la maison, nous infor
pieds, rétorque celui-ci en prenant une ciga
ne heure, je pensais q
o
des mois, tandis que je me sers un verre de bourbon, l'alcool préféré de ma défunte mère. Je me demande ce qu'elle me dirait en sachant que j'ai droit à un putain de mariage forcé... moi qui ai toujours fait ce que je voulais de ma vie depuis mon plus jeune âge. Je me laisse tomber dans le fauteuil où je plisse mon regard sur la vue de Boston. Un mariage arrangé ? Tout ce que je vois c'est une putain de chaine que cet enf
chambre, m'informe Stephen
lui demandé-je en me m
u'elle peut faire l'affaire, m
père, affirmé-je, Mais je t'accord
tre mariage, m'apprend Stephen et je me
a falloir que je m'y colle. Amenant mon verre à mes lèvres, je décide de tâter le terrain de suite. Je sors du séjour pour rejoindre l'escalier qui mène aux chambres, et j'esquisse un sourire amusé en faisant un arrêt devant la porte de sa chambre. Devrais-je
s à qui elle a affaire, grommelé-je
rai retrouvée s'impose à moi alors