Propriété Exclusive de mon Mari PDG
ce soit avec un autre ou avec Caleb, ell
aiment venir chez lui ? Il regarda le livret ro
comme un automate. Il ne parvenait toujours pas à c
sité, glissa à Caleb : « Ton
nir dans un accident ju
ppeler au conducteur
ea dans son téléphone.
portabl
st ? » demanda-t-el
Je suis ton père ! » lança un
: une fille sans éducation, mal élevée, bonn
la belle-mère de Xaviera Evans e
nt précis, ce n'était pas seulement une femme qui parlait -
se soit éteinte, rongée par une maladie impitoyable, M. Evans s'était empr
'était pas un enfant de l'avenir, mais une preuve vivante d'un passé adultère. M. Evans n'avait pas attendu la mort de son épous
, était née seulement deux mois plus tard, un écart
rahie dans le sang et dans la chair, remplacée san
é sa volonté : la petite Xaviera, orpheline de mère, fut
, c'était parce qu'elle possédait quelque chose que Rose convoitait. Et sous des apparences faussement bienveillan
uel malade. Je t'ai offert le quatrième étage de la maison, parce que tu voulais de l'espace ! J'ai payé des professe
fille et causé la perte de son enfant ! Quel genre de monstre es-tu ? J'ai ét
, ouvrit un œil en entendant un rire b
s de la voiture. Pourtant, malgré la chaleur aveuglant
ête, sa nuque raidie, et s'appu
suis la véritable héritière Evans. Le soi-disant fiancé de votre fille est, en r
it, plus acér
dans votre famille, être une maîtresse se transmet de mère en fille ? Mais je vous avertis : tout ce que vous
e ses cris. Elle n'avait visiblement
ester. Sa voix sortit du téléphone, douce e
ag. Tu es responsable de sa fausse couche. Si tu t'agenouilles et fais preuve d
lence morale sous le vernis de la justice.
pondit san
: je me suis mariée il y a dix minutes. Préparez-vous à perdre v
a sans attend
a demeurait droite, même si, au fond d'elle, les flammes
aient bercée de douceur, lui avaient vendu un avenir illusoire, l'avaient laissée cr
n'étaient que du p
ssa dans sa bouche. Son goût âpre et glacial balaya ses
observait sans détour. Aucun d
son regard : « I
a son té
déclencher un
os ne le dé
ariés, si elle réclamait son aide
semblait pas com
te reviendra. Il me faut juste du temps pou
es armes pour les détruire. Il l'avait épousée, lu
s Caleb la fixa avec u
is seulement qui j
endu compte qu'elle ne connaissait toujou
bre d'un doute traversa son esprit : qui était réellement cet homme à ses côtés ? Son regard se perdit un instant à travers
sous-entendus, puis désigna d'un geste discret le sac à dos à ses pieds.
ra :
. Tout en marmonnant pour elle-même, elle fouilla nerveusement dans son sac à la recherche du document. « Peu importe qui vou
rase resta
e posa brusquement sur ses lèvres, l'interr
ra :
b :