Amélie, L'Héroïne Brisée de Paris
astant violemment avec le chaos qui régnait à l'extérieur. Le soleil commençait à décliner, peignant
qui s'arrêtait brusquement dans la ruelle arrière.
saignait sur sa joue. Elle tenait son bras gauche contre sa poitrine, le visage crispé par la douleur. L
s se précipi
s blessée ! Où est Marc
un rire bref, un son
n de déguster du champagne avec Sophie,
tre le mur, repre
ur attirer toute l'attention. Je lui ai tout dit. Les émeutes, le restauran
se, son regard se p
'il m'a répondu
n'osait
on. Il a dit que Sophie avait été très secouée par les 'mauvaises ondes' de la ville et qu'elle avait besoin de
réalité, qu'un silence de mort s'installa. C'étai
e. Il m'a accusée d'être jalouse de Sophie, de vouloir gâcher son moment. Il a ordonné à ses gardes de
nait de céder sous un impact violent. Des cris de triomphe se firent entendre de l'extérieur. La fin était proche. Le personnel se
sur le point de
arole, ma voix étonnamment c
qu'une seul
x se tournèr
endra pas. Nous ne pouvons pas reste
la sécurité. « Mais comment ? To
re, de mes courses folles à travers la ville, me servaient maintenant. « Leurs lignes de communication sont sécurisées. Quelqu'un doit y aller physiqu
installa. C'était u
e redresser, gri
rne. Je peu
n examinant son bras. Il était probablement cassé. «
, l'impuissance
d'autre ne connaît le c
èrent. Dans le sien, je vis de l'inquiétude. Dans le
», décl
ujourd'hui, je la risquais pour me sauver, et pour sauver ceux qu'il avait
vers la ruelle, attrapant les clés d
iles se déplaçaient dans l'ombre. Je conduisais comme une automate, mon esprit concentré sur u
ne quand une silhouette surgit d'une rue latérale, me barrant l
s il n'était pas seul. Plusieurs autres officiers
rs. Ils ressemblaient à des chasseur