L'Héritage: Revanche ou Pardon?
n rendez-vous professionnel, mon téléphone a sonné
justement dans ton quartier. Pierre et moi, on fa
it pas une coïncidence
peu occupé
ure. Ça nous ferait plaisir. O
é était plus forte que tout. Je voulais v
is jamais mis les pieds. Sophie portait un nouveau manteau, l'étiquette de la m
bras, comme si nous étions les meilleures amies du monde. "V
it le cuir et le parfum cher. Une vendeuse im
es rayons avec un a
N'est-il pas magnifique ?
ndu. J'ai regardé discrètement l'étiquette de prix.
. joli,"
s vraiment rien. C'est une icône. Mais bon, ce n'est peut-
son dévolu sur une
! Elles sont parfaites pour
oir, j'ai eu une idée. Je me suis approchée d'un autre
cuir exotique, d'une
'un air faussement innocent. "Mais il est peut-êt
ophie a immédiatement lâché les chau
voir de la personnalité pour porter ça, c'est tout
é sous toutes les coutures. La vendeuse, qu
C'est une édition limitée.
outé un
fortune. C'est sûr
er qu'il était le maître de la situation. "Rien
s yeux quand elle a jeté un œil au prix. Pierre, lui, a sorti sa carte de crédit avec un ge
sac dans une boîte luxueuse, Monique, qui était r
murmuré, son visage dur. "
ie qui voulait faire du shopping. Et
visage. Elle voyait l'argent s'envoler, même si elle était pers
es secondes à accepter la carte, des secondes pendant lesquelles Pie
outique en tenant sa gros
ça, la vraie vie. Tu d
séparer, la vendeuse est sortie de l
emercier de votre aide, la maison
et contenant une sélection d'
leur goût," a-t-elle ajouté
tit rien, un geste commercial, mais pour elle, c'était une humiliation suprême. La vendeu
fret dans mon sac
ment. C'était trè
contre elle, le visage fermé, et Pierre regardant dans le vide, calculant probablemen