ras de Sophie, son corps frêle
je n'étais pas si fragile... si mon cœur n'était pas si faible... ce ch
ux, son expression s'adoucis
e ta faute. C'est lui, l'égoïste. Il savait que tu étais sensi
vec un venin qui fit frisso
ontinua Sophie. « Il voulait te fa
ra Marc
méritait. Lui et so
ès du grand miroir du
: les crocs s'enfonçant dans sa chair, le bruit de ses propr
ment près de la cheminée. Leurs gueules étaient encore maculées de sang séché
semblaient même
t Marc, levant vers elle de
te ferait plaisir ? Je vais demander à
it la lèvre,
ur mon cœur... je devrais mange
, comme s'il che
t très bon pour... le cœur humain. Une
e vague de nausée le submerger,
da avec une ado
, mon amour. C'est u
, puis son visage s'illum
e chiens de concours chez son grand-père. Des bêtes robu
ire qui n'atteignait
te choisirai le plus beau, le plus fort.
une. Et s'il le faut, je tuerai toutes le
il. Il avait passé son enfance à courir au milieu de ces chiens, à apprendre d'eux, à les aimer. Et mai
blement, un sou
onne pour mo
r long et passionné, juste à côté de
en velours, leurs soupirs et leurs mu
e détourna, incapable de
ntinuait sans lui, encore plu