Trahi par l'Amour Familial
é dire que la nouvelle coiffure de ma mère ne lui allait pas très bien. Une simple phrase, dite sans méchanceté. Ma mère adoptive avait souri, un sourire fi
mourir dans d'atroces souffrances. Ma mère l'avait observée tout du long, prenant des notes sur un carnet, comme s'il
ique et aux gémissements étouffés,
Je regrette de vous avoir retrouvés. Je n'aurais jamais dû vous laisser entr
claté d'un r
d pour les regrets,
villa avec des yeux b
nt ? Léo pourra enfin aller dans une bonne université. On pou
uté Léo, en me serrant le bras encore plus fort,
ple transaction commerciale. J'étais un produit, une marc
onne santé. Ils paient bien. Surtout pour une vierge, et il pen
oncé par mon propre pè
», a continué Léo. « Il a mentionné un type, un certain Marc. C'est le
a
et musclé, couvert de tatouages, mais qui, devant moi, baissait toujours les yeux. Un homme qui trem
ténèbres de ma terreur. Ils ne savaient pas à qui ils ava
sayant de contrôler les
faites. Cet homme, Marc... vous
de pitié pour ces gens qui partageaient mon sa
gné mon père. « Tu essaies de nous faire peu
gent pour comprendre le danger mortel dans lequel