Manon: L'Amour et la Vengeance
cophonie joyeuse, mais chez les Dubois, le seul son était le cl
t, ou plutôt, pilleur de tom
assion, et notre famille n'éta
gie de la fête est à son comb
onnait dans
matériel dans le coffre d
ampes torches, de
équipement d'un
it assise dans la cu
isait jam
t une forme d'ap
sœur, Clémence, attendai
oïste, vérifiait son
lança un reg
a jolie, celle pour qui o
is Manon,
n dit qu'il est hanté », dit Clémence
r n'importe quel esprit. C'est de la pure science, ma chérie. Et les légendes so
était un délire inventé p
ne le contre
és dans la
interrompu par les calculs de mon père sur
mmet d'une colline, une silhouette noi
ait nous
a parcour
as la fraîch
ieille porte en
lourd, chargé de poussiè
toiles d'araignées épaisses comme du tissu et des meubl
ardez
une petite alcôve, cachée d
ret en argent, mag
ait l
ré, les yeux brillants de
rochés, leurs visages avides éc
! Ouvre-le ! » a
tit levier de sa poche
a retenti da
le couvercl
il n'y avait ni
éramique noire, scellée
est que ça ? » a g
e a pri
tait g
a brisé le sceau de
e s'est échappée de l'urne
de la pièce a c
ormaient des n
rmer une silhouette haute et min
ts nous fixaient depuis
ur du Comte Ar
ique a
re a
st tombé
ssé tomber l'urne qui s
? » a grondé une voix qui sem
a glissé
rimale, nous a
ne voulions pas vous déranger. Prenez c
, un son sec
ure. Vous avez brisé mon sc
est posé sur
les yeux de ma famille,
cal
is
en me pointant du doigt. « Ell
mmédiatement
ctrale pour vous apaiser, noble Comte
tête vigoureusement, leurs vis
poussée
urté les débris
regardés,
mère. Mon f
nt des masques de s
ient sans une o
'est appro
peine tangible,
a brûlé
is ni crier
né à l'abattoir par
le Comte. « C'est un début. A
ce m'a en
llais mourir, être
ne suis
les yeux, ma fami
s le château avec
uveau
geôl
suivi étaient un
égée entre le monde des v
nte, un murmure dans mon esprit, u
orer le château, à a
e tuer, il semblait voulo
s chambres cachées remplies de trésors
étincelants, des œuvres d'a
disait-il. « Et par notre
ulais pas de
lais m
était dans un état de torp
e du château
famille a appris ma survie et,
rès des falaises qui
e était
t pas de soulagement,
, » a-t-elle sifflé. « Ce t
» ai-je menti, le souffle
nteu
st jetée
eu le temp
'ont poussé
rdu l'é
l a ba
ur ma sœur, son visage tord
de et le bruit des vagues q
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