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Trahison Nuptiale, Douce Vengeance

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1124    |    Mis à jour : 04/07/2025

roissants qu'il tenait. Ma mère a mis sa main s

s'est passé ?" a demandé mon père, sa voix habitue

e, ma mère m'a tendu une pe

atin. C'est le collier de ta grand-mère. Elle v

de blé reposait sur le satin. C'était le symbole de notre famille, de notre travail, de notre fierté.

mé la boît

pas de mari

hison avec sa propre cousine, la conversation téléphonique, l'humiliation. Je n'ai pas

'étais juste... convenable. Une jol

t si calme, a serré les poings.

t ce que tu as fait pour lui. Ap

serrée dans ses bras,

it ce qu'il fallait. Ta fierté vaut

aume sur mon cœur bless

a sonné, strident dans le silen

ie Dubois,

pause. Son vis

vous, Monsieur Lefèvre. En fai

roché bru

Louis. J'ai regardé l'écran, le nom qui m'avait fait sourire pendant des année

er," a dit doucement ma mère.

ecoué

fini de l

uer". Puis j'ai fait la même chose avec le numéro de Sophie. Un petit ges

liation publique. Les rumeurs ont commencé à circuler dans notre petite ville. On disait que j'avais fait une crise de nerfs, que j'étai

s pas seulement faire du pain. Je voulais créer quelque chose de nouveau, quelque chose qui soit à moi. J'ai commencé à expérimenter, mélangeant les techniques de la boulangerie traditionnell

fierté et d'inquiétude, mais ils m'ont laissé mon

roide et soucieuse des apparences, est entrée dans la boulangerie.

appris que t

bien, merci, M

ne mange plus, il ne sort

li éclate

personne. C'est son cœur qui a déci

regardé a

manipulatrice. Mais tu étais la fiancée parfaite. T

la recette aujourd'hui," ai-je répon

me faire porter le chapeau, de me transformer en la

in organisée par un autre domaine de la région. Je devais recommencer à vivre

ûr, ils é

pe de personnes. Sophie portait une robe rouge flamboyante, elle était rad

pâli. Il a semblé mal à l'aise,

ation. Elle s'est approchée de mo

te voir ici. Je pensais que t

e, mais ses mots é

me cacherai

sant les épaules. "Après tout ce drame. Ça

ère vers Louis, qui nous obse

soin de lui. Il a besoin d'une femme f

'était tu. J'ai senti les regards sur moi, curieux, pitoyables. La colère montait en mo

un sourire c

'ait trouvée, alors. Il m

ue de réaction. Mais en m'éloignant, j'ai entendu son rire, un son qui m'a glacé le san

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