Élise: Le Destin Retrouvé
sé. Mon regard a croisé celui de Marc, et pour la première fois ce
e suis pas venue te supplier, » ai-je dit, ma voi
a éclaté de rire. Un rire bruyant, méprisant
us drôle qu'il ait jamais entendue. Sophie lui a emboîté le pa
s que tu l'as quittée, personne à Paris n'aurait voulu d'une marchandise aussi
bsurde. J'étais la femme abandonnée, le paria. Mon nom était
e fausse larme a
u le resteras. Maintenant, prends cet argent et va-t'en avant qu
, se trouvait une autre bague. Une chevalière lourde, en or ancien, gravée d'un blason que toute la vieille aristocratie et le monde du pouvoir parisien connaissaient. Le blason d
i vu le regard de plusieurs personnes présentes se fix
l'a fixée, le cerveau visiblement en surchauffe, essayant d
a sifflé Marc, sa voi
tendais. La fureur a déformé ses traits. Il a vu l'incompréhensible
t silencieux. « Tu as volé cette bague ! Tu oses te faire passer pour ce qu
. Sa main a agrippé mon poignet avec une force br
rié, plus par sur
bras. La foule a reculé, choquée par
! » a-t-il grondé, son visage à quelques
able. Une douleur fulgurante m'a traversé le crâne. Il ne lâchait pas mon poignet. I
té de la scène. J'étais à nouveau la victime, mais cette fois, la violence était physique, crue, exposée aux yeux de tous. Mon corps était meurtri, mon esprit luttait pou