Sophie, la Briseuse de Rêves
ui me pénétrait jusqu'aux os. Puis, la sensation de l'eau envahissant me
re me préparait pour la Fête de la Mi-Automne. Elle disait que tant q
nous serions
orce incroyable. J'ai été tirée vers la surface av
uffoquant, pour me retrouver face a
noirs collés à son front, s
uoi ? » a-t-il hurlé, sa voix r
m'a jetée sur l'herbe humide c
mais j'ai réussi à lever
i... » ai-
prends pour qui, Jeanne ? Tu crois que ta petite vie misérable est s
m'avait autrefois promis de me protéger de tout
é la force
tance, alors pourquoi tu ne me laisses pas
t, ses yeux s'écarquillant de surprise, comm
rir ? » a-t-il balbutié, l'i
plate et vide de toute émotion
ois que ce n'était pas une comédie, pas une tentative po
tait pour moi. Le bout de ses yeux a rougi, une micro-expression que je connais
te qu'elle était apparue. Il a seco
es. Tu ne mourras pa
par le bras, s
trop instable. Je te ramène chez ton
er
dire que je n'étais pas d
al s'est dessiné
rf
r à bout, c'était bien lui. Si je devais mourir, autant le faire devant cel
'une voix douce. « Emmène
pas montré. Il m'a forcée à monter dans sa voiture luxueuse, sa
nêtre la ville que j'avais appris à connaître, les rues
ne serait plus qu'u