L'Emprise Toxique d'un Amour Interdit
nu me chercher à l'hôpital. Il était l'ami de mes parents, un homme d'affaires que je voyais souvent à la maison, toujours impeccable dans son costume, avec un sourire qui sembla
t complètement la mienne, c'était la seule chos
yeux et un peu chaotique où j'avais grandi. Le premier soir, alors que j'étais
u peux m'ap
rêter. Dans ma petite tête d'enfant, il fallait un nom pour ce nouv
'appeler on
est passée dans son regard, puis
rd. Oncl
ation, une barrière invisible qu'il a lui-même acceptée
e père, le frère, le protecteur que je n'avais plus. Mais en grandissant, mon regard sur lui a changé. Je ne voyais plus seulement le protecteur, je voyais l'homme. Je remarquais la façon dont ses yeux
dit que je cachais à tout le monde. C'était un amour qui grandissait dans l'o
. Je portais une robe qu'il m'avait offerte, et quand il m'a vue, son regard s'est attardé une seconde de trop. Cette seconde
hée, mon cœur bat
... Je dois te dir
s moi, un léger sou
qu'il y a,
ne profonde
ue je suis amou
isage s'est durci, ses yeux sont devenus deux éclats de glace. Il
s plus ja
ait basse,
sommes une famille, Amél
me pour me repousser. Je me sentais stupide, sale, anormale. Les larmes me montaient aux yeux, m
artir, fuir cet amour, fuir son rejet. Je devais m'éloigner pour survivre. J'ai été acceptée. Quan
dre son absence plus présente. Quelques mois après mon arrivée, alors que je commençais à peine à trouver mes marques, à me faire d
e tu vis ? C'e
r une étagère. Il n'était pas l'oncle protecteur, il était un homme possessif, furieux de me
, de son contrôle, de ce jeu cruel. Je me suis pl
que tu fais
, surpris que j'utilise
u voir commen
j'allais bien ava
ge s'est
ce ton, Amélie. Je sui
était le moment. Le moment de
raison. N'o
re fois, j'ai puisé ma force dans
. C'est toi qui l'as dit. Alors agis
a surprise, ou même de la douleur. Il est parti sans un mot de plus. J'ai fermé la porte et je me suis appu