Adèle: La Victime Deviant Impératrice
enier, couvert de poussière. Je l'ai nettoyé et j'ai trouvé du fil. Assise dans la faible lumière, j'ai fe
c les fuseaux, tissant le fil exactement comme les visions me le montraient. C'était lent, maladroit au début, mais après une heure,
nt publiquement humiliée. Ils avaient révélé une fausse histoire sur moi, me faisant passer pour une voleuse et une menteuse. Mon père, furieux et déshonor
souvenue de la faim, du froid, du mépris dans les yeux des gens du village. Je me suis souvenue d'avoir vendu le méd
jamais vraiment guéri. Je me suis laissée pleurer, évacuant la peine que j'avais gardée en moi penda
du grenier s'est o
e sava
uil, le visage rouge de colère. Antoine ét
s perdu ! Tu no
ine, là où la chaîne du médaillon était visible
larmes, mon chagrin se transfor
n médaillon. Je n'ai
en avant, son visage
n nous revient de droit ! Grand-mère disai
u tout, Clémence. C'
venu, sa voix fai
s pas si difficile. Montre-le-lu
même Antoine, toujours en train
fait, ses yeux se sont remplis de larmes. Elle a commenc
rand-mère... Tu as tout, Adèle. La vie à Paris, de beaux vête
rire. Mais sa performance a eu l'effet escompté sur sa mère, ma
u fais pleurer ta propre cousine ! Après tout
st arrivé à son tour. Il a re
qui se pas
trer son médaillon à Clémence et e
eau la méchante, la Parisienne arrogante. Sauf que cett
un long soupir
ssez de cet
rceau de dentelle et je me suis dirigée ver
-moi tran
a attrapé
tireras pas
dégagée d'u
re une fois, et t
tous dans le grenier, stupéfaits. Clémence a éclaté en sanglots bruyants, un spectacle calculé
isée, mais elle m'avait aussi renforcée. Je savais maintenant que je ne pouvais fa