De la Mort à l'Amour Infini
uanteur de ma propre mort. Je me suis redressée d'un coup, le cœur battant à tout rompre dans ma po
garde ! C'est
n, d'une beauté si parfaite qu'elle en était irréelle, entouré de l'aura fraîche et mystérieuse de la fo
seulement ressenti un froid glacial m'envahir
é, fascinée par la beauté de l'être sylvain, l'avait suivi sans hésit
per, et de la façon dont elle m'avait poussée dans le dos, droit sur l'être sylvain qui nous chas
ous étions de re
e qui se voulait bienveillant. « Je sais que tu n'aimes pas le
a couru vers le prince-lion, Léon. Elle s'est jetée
e la cour de Léon, de la cruauté des concubines, des nuits de violence et d'humiliation. Elle ne savait pas
it remonter en moi une vague de terreur. Je me souvenais de ses mains,
as cet
it plainte de sa froideur, de son silence. Mais je savais aussi qu'il était fidèle.
ce dont j'a
Léon. Elian m'a regardée, ses yeux d'un
sa voix était comme le
oché l
l'ai prise, le décor a changé. Le désert a disparu, remplacé par
er pour une humaine. J'ai suffoqué, mes poumons en f
s lèvres glacées sur les miennes. Un frisson a parcouru tout mon corps, et soudain, j'ai