Libre enfin
n suffocante. J'y travaillais sans relâche, cet orphelin qu'ils avaient « sauvé » de la rue, rêvant que mon m
é dans ses bras avec une avidité repoussante. Le lendemain, elle est rentrée, ses parfaits cheveux en désordre et son innocence envolé
dans ma misérable chambre, brandissant les sous-vêtements de Sophie, me rappelant mon humiliation. Et quand, dans ma rage, j'ai osé le frapper, Sophie, ma fiancée, m'a gifl
ortune tout en subissant leurs humiliations quotidiennes et leurs paroles méprisantes. Et pour quoi ? Pour être jeté, brisé, sacrifié sur l
viteur Pierre, et à une mystérieuse alliée, Isabelle Lefevre, je me suis échappé. La roue du destin allait tourner. Ils pensaient m'avoir d