L'indifférence, coup de poignard
au téléphone avec Marc, sans aucune discrétion, planifiant leur avenir devant moi. Elle parlait de prénoms pour le bébé, de la décoration de la chambre d'enfant, de leurs prochaines vacances. J'ét
n téléphone était posé à côté, l'écran s'est allumé quand j'ai branché le mien. Une notification de message s'est affichée. C'était Marc. Normalement, je n'aurais jamais lu. M
a maison le plus vite possible. Une fois que
et de confiance totale. Maintenant, je comprenais. Ce n'était pas seulement une histoire de désir ou d'amour pour un autre homme. C'était un plan. Un plan froid et calculé pour tout me prend
nt offert un poste immédiatement. C'était ma porte de sortie. J'ai passé mes journées à organiser le transfert, à scanner mes documents im
prouver que j'avais raison. C'était notre anniversaire de mariage. Je lui ai acheté un petit bouq
nniversair
ine regardé
c'est vrai
par son téléphone. Les fleurs, symboles de notre mariage, se fanaient déjà e
uvenir. Le canapé où nous regardions des films, la cuisine où nous avions préparé tant de repas, notre chambre... C'était un déchirement. Mais c'était nécessaire. C'était comme amputer un membre gangrené pour surviv
e gêne. Pendant le repas, Marc, qui était là bien sûr, a posé sa main sur le ventre de Chloé d'un geste possessif, annonçant à toute la tablée leur "heureuse nouvelle". Il l'a fait en me regardant droit dans les yeux, un sourire
Édouard, mon seul véritable ami restant, c
qu'il a fait ce soir
C'est pour ça que
ilence à l'aut
sûr de
aussi sûr de
plan pour Singapour quand j'ai entendu l
ntre. Je t'appelle de l'aérop
oindre erreur pouvait tout faire capoter. Chloé est entrée, elle ne s
e demandé, presque soulag
comme ça », ai-j
e ma valise et je me suis dirigé vers la porte. Ma main a effleuré l'interrupteur, et j'ai