Retour de l'Ombre Aimée
froide, sans aucune émotion
choué. L'affection nécess
évocation de toutes les compét
avant la mort de
j'ai fixé le plafond avec des yeux vides. Sept j
i par ce "système". La condition pour continuer à vivre était simple : gagner l'affection
ait un éc
mes nouveaux parents, espérant un câlin. Ils m'ont regardée avec indifférenc
notre mariage, il m'a dit froidement : "Notre mariage n'est qu'une forma
ait Sophie partout, m'ignorait complètement. Quand j
j'ai trouvé des solutions pour les problèmes politiques de mon père, et j'ai guéri Henri d'une grave blessure. Mais à chaque fois, le mérite revenait à Sophie. Elle n'a
était un mur contre lequel je me heurtais sans cesse. Alors, j'ai abandonn
c fracas. Henri est entré, son visage du
fièvre. Pourquoi n'es-tu pas à so
ux. Autrefois, j'aurais couru à ses pieds, paniquée, prête à tout pour aide
ée allongée,
fatigué
par ma réponse. Il n'était pas h
t ? Lève-toi immédiatem
on
alme mais ferme. C'était la prem
st approché du lit, a attrapé mon
rai pas. Lève-toi et va
ors du lit. Mes pieds nus touchaient le sol froid en pie
l'air fragile et pâle. Mais quand elle m'a vue, un petit sourire triomphant a flo
'une voix faible. "Tu es enfi
visage rempli d'inquiétude pour Sophie.
. "Reste ici et ne bouge pas
crié et a glissé sur le côté du lit, tombant su
ourquoi m'as-
n mètre d'elle. Mais mon père s'est préc
t oses-tu faire d
é, mais je suis restée droite. Je les ai regardés, un par un. Henri, qui aidait Sophie à se releve
ent jamais. Peu importe ce que je ferais. Ma s