La Seconde Chance Retrouvée
al m'a de nouveau frappée. Thomas était toujours là, son visag
" ai-je demandé
i mis dehors. Les infirmière
olé. Je n'aurais jamais dû le laisser s'approcher de toi. Je ne l'ai jama
à ce moment-là, les y
ée. Et puis à l'hôpital... il était comme un fou. J'ai eu peur.
n larmes à mon chevet.
Isa. Il est très doué
on. J'avais dû vendre les œuvres de ma famille une par une pour survivre. Un jour, j'ai découvert qu'un acheteur anonyme rachetait systématiquement les toiles les plus importantes, celles de mon père, pour des sommes bien supérieures à l
ces années de solitude et de désespoir, il avait veillé sur moi à distance, silencieusement, sans jamais rien dem
is, ce n'étaient pas des larmes de tristesse. C'étaient des
" ai-je
sourcils, conf
t," ai-je
dans mon cœur. Ma nouvelle vie serait avec cet homme. L'homme qui avait aimé
le moins voir au monde : la mère de Marc, Madame Fournier. Elle est entrée, le menton
ation de nos deux familles. Marc est dévasté, bien sûr. Pour mettre fin à ce scandale au plus vit
s osaient ? Après tout ça, ils osaie
d'âge mûr, élégante et au sourire chaleureux, est entrée, suivie de plusie
moi. "Je suis Hélène Bernard, la mère de Thoma
a dit : "Ma pauvre enfant, vous devez vous sentir
son frère, un architecte souriant ; sa sœur, une avocate au regard vif. Ils ont rempli la petite chambre d'h
Madame Fournier, qui semblait
aire une terrible erreur. Camille n'a pas l'a
moi avec un clin d'œil
reconnaître la vraie valeur des choses, mon Thomas est disponible
ire qui venait du fond du cœur. Thomas est devenu rouge pivoine,
a tête. J'ai regardé Madame Fournier droit dans les yeux, pui
te, j'ai annoncé ma déci
re à votre fils que nos fiançail
vers Thomas, un sourire
, j'accepte vot