Un bonheur fragile
laire d'inscription posé comme une bombe à retardement sur la table. J'ai essayé d'appeler Marc plusieurs fois. Chaque appel tombait directement sur sa messagerie voca
ngeaient, chaque minute de silence c
. La porte s'est ouverte et Marc est entré. Il avait l'air épuisé, son
x lasse. "Journée de dingue. J'ai même
s reculée. La vision de son visage fatigué, de son
r mon attitude. "Qu'est-ce qui se pa
nté le papier sur la table. Il a suivi m
dans ses yeux. Mais elle a disparu aussi vite qu'elle ét
il a éclaté de rire. Un rire qui sonnait fau
, Marc." Ma voix était gla
l'incrédulité. "Mais c'est absurde ! Je ne connais aucu
ment, puis son visage s'est illuminé co
phie. Tu sais comment est ma sœur. Elle a probablement voulu rendre service à une amie qui galère pour trouver une école
ctrice en pleine ascension, que je considérais comme une amie. C'
u 6ème, nos promesses murmurées, nos mains enlacées. Les innombrables fois où il m'avait dit : "Avec toi, j'ai tout ce que je veux. Je n'ai besoin de rien d'autre." Était-ce
it vidée. Une partie de moi voulait le croire. Elle voulait désespérément s'accrocher à
lus douce. Il s'est approché, a posé ses mains sur mes épaule
iré son odeur familière. Pour un instant, j'ai fer
iguée," j'ai murmu
dans ma tête me disait que ce n'était pas fini.
our mettre les choses au clair,"
pondu, un peu trop vite.
xés sur le plafond. Je n'allais pas appeler Sophie. Demain, j'irais à cette école moi