Le prix du sang
appelant Thomas. Sa voix se perdait dans l'écho, et la seule réponse était le bruit de ses propres pas a
ntain, un appel. « Maman... » C'était une torture. Chaque craqueme
rminée, elle a rappelé Luc. Elle de
e sonnerie, sa voix étonnam
a chérie. B
faux qu'il en
parler à Thomas
ard hier soir, ils ont joué à des
préparé. Ça sonnait comme
t. Je veux juste entendre sa
que. Je te dis qu'il va bien. Je le ramène cet après-midi, promis. Arrêt
l'angoisse. Une colèr
u être si calme ? Comment peux-tu le laisser là-bas sans même t'assurer qu'il va bien ?
it, chargés de toute la frust
les ! Tu gâches tout avec tes crises ! Les Vasseur sont des gens très importants, et ils
es larmes de rage et de désespoir. Il ne la défendait pas, elle. Il ne déf
tre. Maintenant. »
rès-midi. C'est m
roché. De
e et son fils, un mur fait de mensonges et d'ambition. Elle était seule contre lui, contre cette famille puissan
e ? Appeler la police ? Ils lui riraient au nez. Un fils qui passe la nuit chez
elle ne connaissait même pas leur adresse. Luc avait toujours
t laissée sur son bureau il y a quelques semaines. « Vasseur Industries ». Elle a fouill
approche. Elle a envoyé un message à L
e inquiète. Peux-tu au moins m'envoyer
t son dernier recours. La réponse est arrivée
ité. Finalement, une photo est apparue sur son écran. C'était Thomas, souriant,
t-shirt qu'elle ne lui avait jamais vu, un vêtement de marque, trop adulte pour lui.
'image n'a fait qu'amplifier son malaise. C'était une mise en s
uc. Directement
, un numéro que Luc avait noté sur un post-it près du télé
llô
la mère de Thomas. Je... j'aimer
dit : « Oh, mais Thomas n'est pas là. Lu