Quand l'Amour Dévore Tout
Elle est revenue dans sa vie, se présentant comme une artiste incomprise, une âme sensible qui avait besoin de soutien. J'étais enceinte de Léo à l'époq
ps avec Sophie. Il disait qu'ils travaillaient, qu'elle l'inspirait. Quand je lui parlais de mes douleurs, de mes an
maison, Sophie était là. Elle a pris Léo dans ses bras avant même que j'aie pu le faire. Elle a murmuré :
-partum pour prendre le contrôle. Marc la laissait faire, convaincu qu'elle agissait pour mon bien. J'étais de pl
araître dans le sien, signé de son nom. Le projet du « Jardin Céleste », mon chef-d'œuvre, est devenu sa création. Marc, ébloui par le succès et les éloges, l'a
ant désespérément de me reconnecter à mon travail, à ma vie. Quand j'ai vu l'échafaudage vaciller au-dessus de lui, je n'ai pa
age de Sophie, qui se tenait à l'écart,
t elle l'avait sauvé au péril de sa vie. Marc, sous le choc et reconnaissant, l'a crue sur parole. Quand j'ai essayé de
arc m'a dit que j'étais une honte, que mon instabilité mentale était un danger pour Léo et pour
. Mon seul contact avec le monde extérieur était les visites occasionnelles du Dr Girard, un h
nsformé en une cendre froide. Il n'y avait plus que le vide, l'attente d'une fin inéluctable.
due, suivie du Dr Girard qui portait une mallette
r les lèvres. « Ne t'inquiète pas, ton cœur sera entre de bon
lette. Il y avait des scalpe
» ai-je demandé, ma v
'un ton neutre. « Marc pense que tu
enterrée, a resurgi, glaciale et paralysante. Le Dr Girard a approché le sca
, inimaginable, a explosé dans tout mon être. J'ai hurl
de la cave s'est o
ama
de Marc s'est décomposé. Le choc, l'incrédulité, la réalisation soudaine de l'atrocité qui se déroulait
ensanglanté à la main. Sophie
remière fois depuis des mois, j'y ai vu autre
t est dev