La Seconde Chance de Jeanne
t les yeux, ce n'était ni l'hôpital, ni la mort, mais ma chambre d'étudia
, avant que ma vie ne soit détruit
, sa fausse innocence, la même qui avait aveuglé mes parent
us. Puis vint le jour où mes parents gisèrent dans leur sang, le testament modifié en sa faveur. J'avais été
mes de crocodile, à sa générosité calculée ? La trahison, l'injustice, l
uis levée, un sourire calme sur les lèvres. Sophie ne savait pas que j'étais