L'Attente Brisée de la Princesse
de Vincent. La porte se referma derrière elle, le laissant seu
sa lèvre séchant lentement. Le silence de la grande mais
ais, en train de peindre. Elle s'était approchée, curieuse, un sourire éclatant sur le vi
» avait-elle dit e
comme elle ne s'intéressaient généralement pas aux art
s heures. Elle ignorait les regards désapprobateurs de ses amis, les appels insistan
Nice. Une voiture avait déboulé à toute vitesse. Il n'avait pas eu le temps de réagir. Elle s'était jeté
avait demandé pourqu
, » avait-elle répondu, le visage pâle mais les
it su qu'il l'aime
la plus précieuse au monde. Elle lui achetait le meilleur matériel de peinture, organisait des expositions
lan. Le monde entie
après une longue journée de travail, de sa voix lui lisant des poèmes tard dans la
Il se toucha la lèvre, la douleur était vive. La même femme qui avait ris
dirigeant vers la salle de bain pour nettoyer sa blessure. La porte de la ch
mieux, Vincent ? La
Il ne voulait pas entendre,
it un peignoir de soie, et une légère odeur
» dit-elle, son ton fatigué. « C
garda, i
é là, tout seul. » Sa voix était un murmu
compliqué. Vincent avait mal. Mais ne t'inquiète pas. Bientôt, tout ça sera fini.
vait l'impression de l'avoir entendue un million d
pour toucher son visa
touche
r blessée. Puis, son téléph
t-elle au téléphone, sa voix r
ers Alan. « Je dois
e descendre les escaliers, sa voix se mêlant à celle de V
roir. Un homme fatigué, le visage meurtri, les yeux vides. I
ché sur sa lèvre. C'était une larme de douleur, de rage, mais surtout, de dé