L'Écho du Divorce
agressive me brûlait les yeux. Ma tête me lançait, une douleur sourde
t-elle dit, sa voix pleine de colère. «
la gorge sèche. Une question stupi
i, bien sûr. Elle a dit aux ambulanciers que tu avais trop bu e
se. Isabelle m'a tendu mon téléphone. « Tiens. Regarde
C'était une photo. Pas de moi, à l'hôpital. Mais une photo de la main de Lucas, posée sur une nappe blanche. Il y avait une minuscule éraflure sur l'
était pour une égratignure sur la main de mon agresseur. Elle l'appelait son trésor. La nausée m'est mo
Isabelle, ma voix tremblante de rage.
éposition. J'ai tout raconté. L'agression, le rôle d
confirme vot
e mentira pour
ne dispute dans un bar. Vous aviez bu. Il n'y a pas de témo
de Camille, ma parole ne valait rien. J'étais sur le poi
tailleur-pantalon crème. Elle a souri poliment aux
tendu. Mon mari était très fatigué, un peu éméché. Il a glissé. Mon
cial dans les yeux. C'était un ordre.
s mes veines. J'ai ignoré les p
ille ? Pourquoi
son regard. « Ne sois pas ridicule. Lucas est jeune, il a un a
a tête contre un mur ! Et toi, tu n'as
é. Juste une fois. Notre mariage... Est-ce que ça a déjà signifié quel
l'air stérile de la chambre. Les polici
la fatiguais avec mes questions insignifia
édicaux ? Et pour... le désagrément ? Dis
t sa réponse. Ma douleur, mon amour brisé, ma vie avec
onstre de froideur et d'égoïsme. La dernière étincelle d'amour s'est éteinte. Il ne restait que des cendres
nt levés. « Bon, eh bien... Si tout le monde est d'accord. No
eule avec moi. Elle a pris le
une éternité. Finalement, j'ai entendu le bruit de ses talons sur le lino. Elle était partie. Le ch