Il a donné mon rein à la jeune femme
que carton qui quittait l'appartement était un poids en moins sur mes épaules. Arnaud était assis dans le salon presque vide, buvant son café, et regardant la scè
surlendemain. J'avais besoin de prendre l'air, d'échapper à l'atmosphère étouffante de
dans un carnet. Nos regards se sont croisés. Elle m'a reconnue et un léger sourire a flotté sur s
le dit. « Votre têt
us avons échangé quelques banalités sur le temps, sur le quartier. La conversation
loé, et son visage s'est illuminé d'un sourire que je ne lui
dit d'une voix douce. Il s'est penché
urs têtes rapprochées, leurs mains se frôlant. Ils étaient dans leur propre bulle, un mon
propres yeux la preuve de leur intimité, de leur affection, était une t
nais, un groupe de jeunes hommes visiblement ivres qui passaient dans
dame, on est
peur m'a saisie. J'ai jeté un regard désespéré vers la terr
loé, el
la tranquille ! » a-t-elle crié, sa v
« Et tu vas faire
t l'a jetée au visage de l'homme qui me tenait. Surpris, il m'a lâchée. Mais
enjambées. Mais il était trop tard. L'homme a poussé Chloé violemment. Elle a trébuché en arrière et e
violence inouïe. La scène a rapidement tourné au c
ssé. Il l'a prise dans ses bras avec une infinie précaution. C'est alors qu'il a levé les
est toujours de ta faute ! Si tu n'avais pas
ière victime. Il me blâmait parce que Chloé avait été blessée en me
orps. Maintenant. Au café Le Progrès. Et je veux qu'on donne une leçon à ma femm
parcelle de mon être. Cet homme, mon mari, était en train de commander ma mise à mort sociale, et peut-être plus. La tendresse qu'il