Il a donné mon rein à la jeune femme
maison en Provence, loin de l'agitation parisienne. Quand je leur ai annon
ndé ma mère, sa voix pleine d'une inquiétude
an. Plus q
se ? » a grondé la voix d
ls. Pas encore. « Nous ne sommes plus h
m'était toujours ouverte. Leur soutien inconditionnel était un baume sur mes blessures. Cela co
en Provence. Je triais mes vêtements, mes livres, mes toiles. Chaque objet que je touchais était un souvenir. Certains ét
urs devaient venir. Arnaud, qui avait été absent pendant toute la semaine, est rentré tard
ême pas souve
veille, j'aurais été anéantie. Ce soir-là, je n'ai ressenti qu'une confirmation fro
z l'avocat ce matin, » lui ai-je dit, al
bu une gorgée. « J'espère que tu ne demanderas pas une pension
image. J'étais une note de bas de
stir. Son sanctuaire. Poussée par une impulsion, j'ai ouvert le tiroir de son bureau, celui qu'il gardait toujours
néma. Une fleur séchée. Une mèche de cheveux bruns, attachée avec un ruban de soie. Et une série de photos polaroïds de Chloé. Chloé riant, Chloé peignant, Ch
une passade. Il l'aimait. Il l'avait aimée bien avant que je
et m'a vue, la boîte ouverte dans mes mains. Son visage s'est tr
tu fais là ? Tou
e violemment. J'ai perdu l'équilibre et ma tête a heurté l'angle du bureau. Une doule
nouillé pour ramasser précieusement chaque photo, chaque
droit, » a-t-il si
sang coulait, chaud et collant, entre mes doigts. Il m'avait blessée. Ph
dû faire depuis longtemps. J'ai rassemblé toutes les photos de nous deux, les cadeaux qu'il m'avait faits,
umé une
ardé le feu consumer mon passé, une larme silencieuse roulant sur ma joue. Ce n'était pas une