Dubois : Le Retour
posa. « Faire tes bagages ?
ars d'
« Partir ? Mais c'est absurde ! Tu ne peux pas partir. Tu n'as nulle part où
nnaient comme une insulte. Il la voyait vraiment comme
r de moi-même, Pierre. Je n'
'hier soir. Je suis désolé. J'aurais dû te défendre. Écoute, oublions ça. Demain, je prends ma
ffacer ses mensonges avec une promenade et une glace. Camille le regarda, voyant clair dans son jeu. Mais
« Mais d'abord, j'ai besoin de faire un gr
ctivité domestique, normale. Il a même offert son
. Je vais
mencé à y jeter des choses. Le premier objet fut un cadre photo sur la
est-ce que tu fais ? C'e
r la décoration, » répon
nitiales brodées, des bibelots qu'il lui avait offerts. Tout ce qui symbolisait leur
e passant de la confusion à l'inquié
est-ce qui te prend ?
nt vers lui. « Ce ne sont
résentent... nous ! Tu m'aimes, n'est-ce
arder avec des yeux vides. Son silence était
a emmenée. Mais son choix de destination était révélateur. Pas un musé
portante, » expliqua-t-il. « Je pens
ver à son monde qu'elle était toujours à ses côtés, que to
était là, rayonnante dans une robe de créateur, discutant avec un groupe d'amis. En les
phie, son ton faussement enjoué. Puis, se tournant ver
it les présentations avec une gêne évidente.
n à Camille avec un air de grande dame condescendante.
irent. L'un d'eux fit un clin d'œil à Sophie. Camille comprit. Ce n'était pas une coïncidence. C'
r s'asseoir juste à côté de Pierre, ignorant complètement la présence de Camille. Elle lui touchait le bras
ble. Elle se sentait comme une specta
pencha vers elle. « Excuse-la. E
que tu vas épouser Sophie. À quoi bon faire semblant avec... elle ? » Il désigna Camille d'un geste méprisant. «
ne dit rien, son visage rouge
r une idiote. Ils n'avaient aucune idée de qui elle était.