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Détesté par la fille de mes rêves

Détesté par la fille de mes rêves

Auteur: Emmak
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Chapitre 1 Chapitre 1

Nombre de mots : 1291    |    Mis à jour : Ce jour04:26

meilleure amie, Maddie, en refermant bruyamment le tiroir

n glissant une mèche de mes cheveux roux derrière mon oreille, tout en réajusta

rle de la soirée de Liam Johnson. - Son regard azur se pl

était bien là le problème. Je ne faisais pas partie de leur monde, je n'en avais jamais fait partie. Plus e

ur de moi. Les gens devenaient silencieux, crispés. Je n'avais aucune envie de passer ma soiré

irait derrière la machine. En vérité, j'étais reconnaissante pour cette interruption ; ce vacarme me donnait une échappatoire, quelques précieuse

r. Papa est de service, donc je devrais sûrement pas sortir, - bredouillai-je ave

re inférieure en une moue suppliante. - Ne me laisse pas y aller toute seule. S'il te plaît ? Brody sera

on comme on vide une boîte de mouchoirs en pleine grippe. Moi, à

is, je suppose que le lien forgé en maternelle, couverte

ment maquillé. Son nez fin, ses paupières soulignées avec soin... aucun doute, tous les garçons de Sweet Creek Hi

gts vernis. - Bon, très bien. Mais

vant d'acquiescer d'un

e ou tu comptes nous laisser commander

, je croisai une paire d'yeux sombres, un front légèrement froncé, des lè

illai quelques excuses et

les mêmes yeux profonds. Elle s'approcha, me jetant un regard désolé. Elle portait

is désolée, - répondis-

it sa faute, - rétorqua le garçon, q

na vers moi et tendit la main. - Jac

je restais aux côtés de Quinn. Elle arborait un sourire doux e

nom ? - demanda-t-elle,

le de Caroline du Nord. Ici, les jeans et les t-shirts étaient le quotidien. Parfois, même moins. La pl

aient bien trop élég

Ou alors, elle s'en moquait. Moi, en revanche, je pris soin de ne pas la frôler. J'ava

s détonnaient tant dans le décor que j'étais pri

- Quinn me jeta un regard complice avant de s'avancer. J'hé

ment le mien. Ses cheveux bruns étaient coiffés avec un désordre étudié qui trahissait le soin qu'i

e jeta un bref regard à Lucas, chargé d'un mélange d'émotions diffi

que

'appeler son nom. Quinn ouvrit la bouche pour répondre, mais Lucas s'empara de son

son problème ? - Ils ont plus de café à New York ou quo

soupirer. - Tu devras excuser mon frère

de choses à encaisser. Une boule familière monta dans mon ventre, et des larmes vinrent piquer mes paupières. Pourquoi

droit exigu, étouffant, où les murs se refermaient peu à p

er plus tard», mais je me contentai de lui faire un vague signe de la main, sans me retourner. Le regard rivé a

e plein fouet. Un mur. Du moins,

as. Et ils ne marmonnent pas non

, je levai

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