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Détesté par la fille de mes rêves

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1181    |    Mis à jour : Ce jour04:30

orageuse. Et il ne fallut que quelques secondes à mon cervea

ait déjà imbibé du café noir qu'il venait apparemment de renverser sur moi. Dans l

otre problème ?! -

oisine, où il saisit une pile de serviettes sans un

donner. Mais non. Il s'accroupit et se mit à essuyer soigneuseme

- lâcha-t-il, comme si cette infor

te. Le café, heureusement, avait eu le temps de tiédir sous les quatre-vingt-dix degrés d

d'un ton sec, tout en tentant d'éponger la large tach

ntéressé, sans l'ombre d'un re

ini de lustrer ses chaussures. Et alors que je croyais qu'il allait enfin me tendre l

que son fichu café. - Et vous, c'est quoi votre problème ?! - m'exclama

cer lui aussi, manquant de peu de me toucher. J'esquivai

e ose appeler du café, - dit-il, plantant ses yeux dans les mien

s avec les serviettes poisseuses avant de les jeter à mon tour. J'étais tremp

es crispées, et remontai les trois pâtés

chaine grande trouvaille ». Seuls ses pieds dépassaient de sous le châssis, et

scooters des neiges... tout y passait. Il achetait, démontait, réparait, puis stockait. Dans la

vit passer. Son regard glissa aussitôt vers le camion imposant stationné à la l

-je avec mon sourire le plus éclat

'est quoi ? - fit-elle en désignan

. Mille fois. Il ne m'écoutait jamais. Et ces der

ais encore lui

e. Ça ne peut plus durer. Si votre père ne débarrasse pas la cour, je vais être obligée d'en p

t ma salive. - Bien s

nt d'appeler sa chienne, Princesse, et de dispara

dirigeai vers Papa. - Encore u

- Salut, ma citrouille. - Son regard parcourut r

r aussi facilement. - Et ça, c'est quoi ? - fis-je en désignant la carcasse au-d

inture. - Ouais, mais celui-là, je l'ai eu pour une bouchée de pain. Une fois réparé, on pourra le revendre trois

vêtements imbibés. - Un gosse de

avaient grisonné en une seule année. Il avait mauvaise mine, les yeux cernés, toujours fatigué. Je savais qu'il souffrait encore. Moi aus

ignit la poitrine. Les la

quelques outils, puis se glissa à nouveau sous la vo

. Dès que l'émotion montrait le bout de

e m'être laissée aller. Je pris une grande inspira

ser

ôt sous la douche, rapide mais nécessaire, puis enfilai un short en jean coupé et un débardeur à motifs tie and dye

ur bordaient la rue principale, donnant à l'endroit ce parfum réconfortant de routine et de souvenirs. Le café Le Grain se situait to

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