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Souvenirs d'obsidienne

Chapitre 2 Le poids de la pierre

Nombre de mots : 1253    |    Mis à jour : 25/06/2025

ieusement, cachant des secrets parmi les falaises. Asha se réveilla en sursaut, toujou

ait pas s

ent parmi les abris de pierre qui leur servaient de refuge. Une odeur de terre humide et de cendre flottait dan

rifié pendait comme une branche morte. C'était plus qu'une croûte d'obsidienne : elle atteignait maintenant son épaule, des

mais elle ne voulait pas non plus faire comme si tout allait bi

mi », murmura Kae

dég

que ça a

e. Lorsqu'il se tourna vers elle, Asha remarqua une fine ligne du

nt les yeux vers son bras droit. « J'avais l'impression qu'ils ne m'app

orqua Asha aussitôt, t

t la v

aient le silence. Asha ressentit un pincement d'impuissance. Elle avait tenu la vie entre ses mains, ravivé des souvenirs morts, allumé de

dit Kael, comme s'il lisait dans ses pensées. « Tant que tu le gard

, répondit Asha d'une voix p

remière fois qu'elle l'avait vu, dans les couloirs du temple, lorsqu'il était son geôlier et qu'elle était une prisonnière

al ?» demanda-t-elle,

e n'est pas de la douleu

ui glaça

tact était encore chaud, toujours lui. Elle s'accrochait à cette huma

décisif. « Nous retrouverons les fragments, nous réactivero

t-il doucement. « Au cas où ce moment arriv

la gorge. Elle ne voulait pas de promesses de mort. Pas m

sur la roche avec des pigments naturels. Les voyant, elle se leva, examinant Kael d'u

e cou », dit As

ait pas une surprise. Juste l

ux pourrait être utile. Il existe d'anciennes traces d'obsidienne vivante. Peut-être

ait exprès ? » demanda Asha,

e Kael le protège, il absorbe peut-être une partie du feu. Com

le vide. Asha remarqua qu'elle ne touchait rien avec son bras pétri

use. « Les vieilles femmes disent que c'est peut-être la porte d'entrée vers un so

sha avant que Kael

. » murm

a quelque chose dans cette faille, quelque chose

tête. La décis

les braises du feu illuminant son visage d'une lumière vacillante. La pierre semblait avancer davantage

sur un rocher, observant les étoiles, de

ns pas à temps ? » de

ire », répondit Lirien sans la regarde

dessein ? Deven

que les Gardiens craignaient tant qu'ils ont tenté d'enter

ecouer, mais elle savait que Lirien ne parlait pas avec cruauté

oulais pas être

der quand brûler...

rondement lointain. Une fissure qui s'ouvr

Elles brûlaient de la même promesse qu'elle tenait au creux de sa main : l'éc

elle savait aussi que chaque pas vers cette fissure était un pas vers quelque ch

rdre tous

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