Le Second Choix, Ma Révolution
e était déjà là avec Julien. Elle avait l'air fragi
oix. « Je suis désolée pour hier. Mes crises... elles sont
re. Et lui, il buvait ses paroles, le regard plein d
cé les sourcils. Il n'aimait pas que je boiv
rs d'enfance, de leur histoire familiale commune. J
nt qui a tout
blié mon carton à dessin dans ta voit
que non, Camille. Tu peux
ble. Le sanctuaire dans lequel il m'avait formellement interdit, une
urchette. J'ai
roit de laisser ses affaires d'art pleines de fusain et de peinture dans ta v
st devenu pâle. Camille a rega
pas pareil... »,
pareil. Parce qu'elle, c'est Cam
evée. J'ai p
ez l'air d'avoir beaucoup
arfait. En marchant dans la rue, j'ai sorti mon téléphone. J'ai regardé une vieille photo de nous d
e. Douloureuse,