Esclave amoureuse de mon diabolique PDG
grand maintenant... » répondit
our quand j'aurai le poste », dis-je en
ur-jupe noir et une simple chemise blanche. J'ai rapidement payé et remercié ma tante avant de rentrer directemen
.
souhaiter bonne chance et succès. Mon père est mort de maladie quand j'étais très jeune. Pour être honnête, je ne me souvenais p
iments à son sujet, notamment sur le fait qu'il était un homme très responsable, qui aimait vraiment
t moi allons bien. Nous faisons tous les deux de notre mieux pour être heureux. J'ai toujours travaillé dur et je
.
a également récité ses prières en silence. Après avoir terminé, nous nous
ir une vie meilleure. Ma mère vieillit, et cela se voit à ses maux de dos de plus en plus fréquents et à sa baisse d'endurance, même si elle fait de son mieux pou
Demain, je devais prendre le train très tôt pour me rendre en ville où je passerai
e fermais les yeux. Dem
.
e qui, je l'espère, sera m
là se dressait l'un des plus hauts gratte-ciels de la ville, le siège social de Jessen & Hills. Cet endroit est le lieu de travai
intillant qui se dressait au-dessus de moi. Le bâtiment était presque entièrement fait de verre arg
e moi jusqu'à trouver un petit banc où je me suis hâté de m'asseoir. J'avais déjà enfilé mon costume, mais je n'avais pas encore mis les chaussures que ma tante m'avai
al en marchant, mais je devrais pouvoir tenir le coup pour la journée
voi
ante. Je savais que cette candidature était compétitive, mais je n'aurais jamais imaginé
Puis est venue la pause déjeuner, où l'on nous a servi des paniers-repas. J'étais tellement stressée et nerve
.
participe aux entretiens d'embauche des nouvelles recrues. Je comprendrais que vous souhaitiez inter
e ? » demanda un autre homme au
ur », répondit le vi
haite participer à des entretiens pour les nouveaux diplôm
» dit le vieil homme avec hésitation. Comment était-il censé dé
après-midi. Tu peux faire ça, non ?
vieil homme. S'il ne pouvait pas faire « aut
rise, je veux voir par moi-même comment notre entreprise est perçue par la nouvelle génération. Après to
, Monsieur... » répondit le
t l'autre homme sans émoti