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L'Alpha qui m'a Reniée

L'Alpha qui m'a Reniée

Auteur: Ando Plume
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Chapitre 1 1

Nombre de mots : 1485    |    Mis à jour : 06/06/2025

e ; qu'il me construirait une balançoire sous un immense saule pleu

diable l'

e la vieille grange, fouettant ma peau meurtrie. Je sentis un frisson me parcourir l'échine, mais ce n'était pas le froid – c'était la trahiso

lèvres, collé comme un rappel écarlate de ses promesses fracassées. Je passai ma langue sur mes dents. Aucune ne semblait bouger, mais impossible d'être

si large et brute qu'elle semblait encore vivante. Celui qui avait bâti cette grange ne s'était pas embarrassé de raffinement. Il avait

rtrière. Une douleur aiguë irradia mon flanc gauche, me coupant le souffle. J'haletai, les yeux embués, le monde se balançant autour de moi comme un mirage

ire, c'était ce que je ressentais là, au creux de ma poitrine : une explosion silencieuse, comme si mon cœur s'était fracassé en

. Il y a quelques heures à peine, je croyais encore à notre avenir. À notre union. À notre bonheur. Je me voyais mariée à lu

vait menti. Tra

sous une montagne de rage. Ne pense plus

ontaminer le sang, les souvenirs

. Tu seras à moi, pour le reste

comme des étoiles, formaient des cartes secrètes que je connaissais par cœur. Il respirait lentement, paisiblement, déjà assoupi malgré not

e creux de mes reins, ferme et douce à la fois, comme une promesse silencieuse. Il d

e, ma joue posée sur sa peau chau

oreiller. Ses doigts dansaient paresseusement sur

un livre ouvert. Nous étions liés depuis trois ans. Nous avions ressenti le lien en même temps. Ce n'était pas une surpris

ur. J'étais une bouteille de soda secou

p mignon »,

Juste... respectueux. Je dois encore

rnet

cole, Luna. Je ne veux pas que

'Alpha devait approuver. Mais cela faisait des mois qu'il traînait les pieds

riés ni accouplés. Pourtant, je vivais dans cette meute depuis mes douze ans

penses tr

s Marnet. Il me souriait, une main

érieusement... je t'ai promis que je m'occupa

ais fait

'étais seule. En

'était

cœur brisé. Parce que j'avais adoré quand il me regardait comme ça - avec ses yeux verts, brûlants comme l'herbe d'une colline en été, d'un vert si profond qu'il en parais

poitrine comme si j'étais chez moi, comme si

is-je murmuré en tirant la co

e, ma douce ? On a tout le te

méfiante, rusée même... mais face à Marnet et à ses foutus yeux d'émeraude, je me suis laissée consumer. Je lui ai offe

e bois rugueux. À quel moment aurais-je pu deviner ? Tous les autres couples liés dans notre meute s'étaient trouvés et acceptés sans hésitation, même les plus

aient même, mais à la fin, ils se retrouvaient. Toujours. Leur lien guérissait, mê

ue je haussai les épaules, leur poids me r

ouais.

on aime ? Voilà bien une bless

is que rien ne changerait. Q

, Ma

à sa simple présence. Je souris malgré moi, posant doucement mon me

st-ce qu'il

omme ça si on s'était rencontrés à un autre moment

itié, toujours alourdis de fatigue.

épondit-il avant de r

aussi sûre. Alors je me suis tortillée contre lui, insatisfa

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