L'Alpha qui m'a Reniée
as pas me laisser dormi
rillants d'une lueur qui lui était bien
pas qu'il y aurait vachement moins de compagnons liés par le destin si tout devait se passer à l'âge de dix-huit ans ?
nçant dans une moue confuse. « Peut-être... mais le
is franchement, ce n'est pas comme si des mains cél
on.
mains ont cassé autre chose. » lança
pas mon moment de gloire. Sophia, sa sœur, avait toujours été une vraie peste depuis notre enfance. Le pic fut atteint en terminale quand je fus nommée salutatorienne,
s prévu un petit dîner d'anniversaire au resto avec des amis. Rien d'extra, mais suffisant pour célébrer. Et bien sûr, qui je croise en chemin ? Sophia. Et comm
jour-là, quelque chose avait changé. Peut-être que j'en avais simplement assez. Elle a commencé à p
e, hors de moi. Je n'avais même pas remarqué que Sophia ne se défendait plus. Quelqu'un nous avait retenues to
ment-là, c'était comme si je le voyais vraiment pour la première fois. Mon cœur
sur terre
nir. Il affichait ce souri
ur, tu sais. Parce que c'est
onnaissai
ête. J'aurais fini par te trouver. C'est comme ça que ça fonctionne. Le destin. Il n
s même à cet instant, ce souvenir restait tendre dans mon cœur. Un moment précieux. Quelque ch
chaînes rugueuses. Elles frappaient le bois et mordaient ma p
pirer. Une tristesse moite m'envahit, se coinçant dans ma gorge comme une boule qu'on ne peut pa
savais qu'il tiendrait parole. Il était l'Alpha. Et dans une meut
édant un nouveau sanglot étranglé. Ma poitrine me faisait horriblement mal, comme si on y avait planté des griffes invisibles, la lacérant de l'intérieur. Ce n'était
aque respiration me faisait l'effet d'un supplice, chaque battement semblait hésitant, désorienté, comme si mon âme avait perdu son cap, errant désormais à cont
leur s'est entre
r, j'avais passé une grande partie de ma misérable vie à pleurer ! Marnet n'était qu'un salaud de plus dans l'interminable file de ceux qui avaient piétiné mon cœur. Sophia, sa sœur toxique. J
x-huit ans, les rêves pleins les yeux, convaincue que le monde m'ouvrirait ses bras. J'étais certaine d'avoir trou
s chuchotements derrière mon dos, ceux qui murmuraient que j'étais la fille illégitime d'un haut gradé du Lupus Claw Pack. On n'avait jam
croyais, même lorsqu'il devenait distant, froid, et qu'il m'ignorait devant les autres comme si j'étais une étrangère.
pris la peine de me connaître. Il n'a jamais vu la flamme en moi, celle qui refuse de mourir. Il disait qu'il m'aimait. Qu'on serait ens
e torche dans une pièce pleine d'essence. Il n'est plus question de me
payer, Mar