Le mari de ma sœur me pile
s poils jusqu'à les tailler. À cette question qui vous passerait à l'esprit, je vous répondrai douze ans. Oui, douze ans. Laissez-moi vous dire que douze ans n'est pas très peu au contraire, c'e
donnée en abondance. La corpulence, elle était au top. Et d'ailleurs, si je sors avec ma grande sœur, si on ne nous obse
ux fermés, je sentais son doigt me pénétrer l'anus. Je ne saurais expliquer ce que cherchait le doigt d'un blanc dans l'anus d'un noir. En tout, il avait son doigt dans mon anus. Pendant qu'il me doigtait l'an
sur le lit. Poussant ma main droite sur la poitrine, je surpris mes deux tétons debout comme un pis
n vagin. Cette fois, il localisa mon clitoris et le repér
sur le lit mais je me voyais hors du monde. Je m'en foutais de ce qui pourrait arriver car, j'étais très loin de savoir si la porte de ma chambre avait été fermé
jamais parlé de cela auparavant. À la télé, lorsque nous suivons un feuilleton et qu'il arrive le moment aux blancs de s'embrasser
ut, il me fallait aller faire les ablutions matinales pour dégager la mauvaise odeur que dégagent les vagins tous les matins. Mais mon gars, assoiffé et affamé de ma chatte, m'avait rendu
à l'action ? m
t, je lui fis
pourq
e ne suis pas
acco
e revivais aux diverses scènes qui venaient de se produire. Je passai plus d'une dizaine de minutes
*
du jeu. Le petit garçon, concentré sur son jeu, ne calculait personne. Et moi, je m'étais dirigée à la table à manger. Sur cette table, était suspendue une grosse glacière. Cette glacière contenait le thé chau
sse de la domestique, pouvez-vous fausser
ire et murmura au petit : « je te r
jeu lui était plus cher que ce
dit-elle lorsqu'elle a
e lui demander de s'a
ôt, treize. Je suis la sœur de votre patronne. P
pelle Aubierge ; j'ai vingt-deux ans. J'ai ét
nt fini de se présenter
tata Aubierge. Alors dis-moi, est-ce
son employé. La preuve : ne me vois-tu pas assise sur le
ngible. Parlons maintenant de ma
e comme une employée dans cette maison. Je
que toi et moi devenion
avions formé une petite famille. Et puisque tu es venue, je me d
que ma sœur quitte la maison,
'ai jamais vue revenir avant dix-neuf heures. Vingt h
elle passe tout ce temps
mais tout ce que je sais,
détails. Tu peux rejoindr
t moi, au lieu de finir mon thé, j'abando
rge, peux-tu m'orienter ve
est déjà sortie de la
le
u parler à M
Si
seras arrivée en haut, regarde à ta dro
erci be
à destination, je fixai mon côté droit et aperçus une porte. Je t
té l'idée du port de slip. J'avais ensuite porté un petit maillot. Le mail
ria Ken, un large sourir
erc
s'il t
ux vraiment de moi, rejoins-moi dans ma chambre mais bien avant, demande un s
ui demander d'aller m'acheter d'unités et pendant
lle idée ! On se co
je quittai Ken et m
? me questi
! J'étais allée
je v
uée ! Je vais dans m
acco
ter les secondes. Oui, j'étais pressée que Ken vienne continuer ce qu'il avait commencé le matin. Fatiguée de m'asseoir, je
enfin
je sui
Aubie
vec Ryan pour aller m'ac
se-moi aller verr
èvres. Doucement et calmement, il commença à me caresser les joues. Des joues, il monta les mains vers mes cheveux et me les caressait. Des cheveux, il fléchit sa m
te fois, j'acceptai. Tout heureux, il enleva sa ceinture, massa correctement sa bite qui était déjà en érection depuis son pantalon et tout doucement, il commença à l'introduire dans ma partie intime. Je fermai les yeux pour ne pas crier. Plus la bite pénétrait doucement dans mon vagin, plus je serrais les dents parce que je n'avais jamais tenté cette aventure. Je poussais le « sssssss » parce que j'avais mal. Je serra
Pour me diminuer les douleurs, Ken avait attrapé mes deux seins dans ses
LE MARI DE MA SŒUR
nous allons continuer et petit à petit, tu verras combi
je me suis donné la peine à aller voir ce qui se passait. Ma
Ken m'a déc