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Ne te retourne pas

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 1837    |    Mis à jour : 26/10/2021

ersonnes revêtues d'habits sobres et classes se dirigeait le pas en dilettante vers u

Je suis là pour t'expliquer toutes les subtilités d

Ne pense pas que c'est un plaisir partagé ; grimaça Ella en e

e une chance de la convaincre en l'accompagnant à ce

ançaient comme la flopée autour d'eux ; la corrida était annoncée pour 1

teurs étaient appelés des aficionados, des amateurs passionnés. La télévision, les journalistes étaient également sur place. Mais on distinguait pour

ient si chics ; beaucoup tenaient d

. Et là, c'est la chapelle, il y en a dans toutes les arènes ; de l'extérieur de nos arènes, d'ici, on la voit très

intérieur des arènes. Ça sentait le cigare, c'était fort comme odeur. Chaque place était également numérotée, les places les plus en bas de l'arène étaient les plus prisées mais c'étaient aussi les plus chères. Le prix de la place fluct

assesseurs, placés face à l'entrée des toreros sur

émit Jonathan en s'approch

le semblait, tout au moins d'appar

ique d'entrée propre à l'arène. Le défilé commença, solennel et t

its, de musique

nt le tour de l'arène en guise de présentation. Chargés de faire respecter le règ

alguaz

e leur entrée sur le ruedo, la piste centrale d'aspect sablonneuse. Tout ornés d'or, les trois matadors se pr

a montera, la toque noire ; cela veut dire que c'est une première pour lui dans c

prit en éle

lui, fait la

des yeux à l'écoute de

la capote de paseo, se saluèrent pour se souhaiter bonne chance et commencèrent à s'échauffer. C'est alors que

résentait sous ses yeux d'un regard attentif e

taureaux si tu préfères ; le président et le maire viennent la donner aux alg

, tenant dans ses mains un large panneau où l'on pouva

aureau :

éro

aissance

s :

ria :

né son regard vers quelques hommes dont les discussions semblaient enflammées. Ils étaient debout dans le callejon, le couloir circulaire qui séparait la barrière des gradins, dans des tenues traditionne

ruban qui soulignait les couleurs de la ganaderia,

pattes, de morphologie trapue mais ça ne l'empêchait pas d'avancer. Le matador, à l'aide d'une cape, enchaînait les passes. On voyait bien qu'il essayait de l'amen

rt pour se faire entendre ; sa zone de confort, ça le rassure d'êtr

dégageait beaucoup de ferveur. Les couleurs éclatantes de l'été s'étaie

par la banda dans le public marqua un ch

changement a été demandé par le président. Le matador a pu tester le taureau pour vo

lieu le plus éloigné du territoire du taureau. Pendant ce temps, le matador avec l

avivés. Regarde bien, le picador le provoque. Le taureau v

ce. Comme avec un goût d'y revenir, l'animal réitéra plus tard son attaque vers l'homme et le cheval avec toujours la m

t dans le public d

digne de notre public ! » ou e

se déroulait sous ses yeux, pencha la tête

est brave, plus il va revenir vers le picador. La bravoure, c'est sa volonté d'aller à la pique ; contrairement à la noblesse qui est sa capacité à sui

rement du visage de son frère qui diffusait c

a seconde fois. On sentait que le taureau avec tou

des oreillettes. Affolée, elle changea immédiatement de champ de vision et vit encore un autre homme dans cette même position, sur la gauche. Simultanément, Ella sentit sa poitrine se resserrer. Elle balayait inlassablement son regard de la droite vers la gauche, du haut vers le bas, focalisée sur ces yeux dans le public rivés sur elle, au fil des séries de passes que le matador exécutait avec sa muleta. En même temps que le

sang rouge vif sur une bête noire. À chaque estocade donnée, Ella se tordait. Le taureau finit par tomber. Les deux hommes aux oreillettes et les quelques autres autour s

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