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Sous contrat avec le milliardaire

Sous contrat avec le milliardaire

Auteur: Jks
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Chapitre 1 Prologue

Nombre de mots : 1092    |    Mis à jour : 30/04/2025

i

sept

. je t

arrêtée pour y réfléchir, et je ne m'étais pas inquiétée de la façon

ain. J'étais plongée dans une sorte de réalité charmante et immédiate - un moment suspendu - et la seule chose

eke sache qu'il n'était pas seulement mon meilleur ami, mais aussi le héros

moi... jusqu'à ce soir où je suis allée faire la tournée des bars avec Z

s jamais dit sobre, et que je voulais que les

rès prob

e. J'aurais continué à faire semblant - à faire semblant de ne pas vouloir me jeter sur le gars

te fille qui admirait initialement Zeke comme

it probablement toujours mon héros, il était devenu absolument imposs

ite ivrogne », répondit Zeke avec i

upides talons hauts qui m'avaient empêché

donc ma pratique de la marche en talons aiguilles était... disons limitée. Je pense que je m'en suis bien sortie au début de

ième chaussure heurtait le sol et qu'il co

solides pressaient doucement les muscles endoloris pendant plusieurs minutes avan

s entendu dire

bord du lit. « Je t'ai dit que je t'ai

qui rendait parfaitement évident

je voulais dire. « Je veux coucher avec toi », ai-je avoué, mes mots un peu pâteux, mais il

l est bourré, Lia. Et honnêtement, parfois on s'en fiche un

ne me prenait pas au sérieux. Du tout. À en juger par le sourire moqueu

upir et lui lanç

it une bonne raison de douter

t le regard bleu intense de Zeke avec toute l

dis-je. « Tu es peut-être mon meilleur ami, mais il faudrait que je so

front. « Je suis sacrément content que ce soit moi qui sois là avec toi ce soir, Jellybea

e piquai du doigt dans la poitrine. « Tu veux bien arrêter de m'appeler par ce surnom ridicule, et ar

de bonbons Jelly Belly. D'accord, peut-être que j'avais encore un faible pour ces foutus bonbons gastronomiques,

proche du mien que je pouvais sentir son souf

te blessait, Lia », dit-il. « Ça n'a jamai

regard tendre et pensif me désarmait. J'entrete

e soucie toujours assez pour

je n'y avais jamais vu autre c

i avoir balancé tout ça, je relâchai

c'est censé être... tendre », avouai-je. « Je suppose que je suis juste en colère parce que j'essaie de te

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