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Sa Vierge de compagnie

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1107    |    Mis à jour : 26/04/2025

aine pl

stensiblement, tandis que des femmes richement parées tournoyaient autour de moi. Leur parfum, âcre

er à l'infini. Le scribe royal, posté à ma droite, griffonnait frénétiquement des notes, ce qui semblait entretenir l'ill

s, rapiécés aux coudes. Sa robe, bien que propre, n'était ni neuve ni en soie, mais en coton brut. Une femme du peuple, marquée

meilleure chenille de printemps de tout Oef, si tendre, si jeune, qu'elle fond littér

mes côtés. Son emploi du temps est complet pour les six prochains mois. Si vous souhaitez une audienc

de tels frais... Les terres de mon père ont

llez vous retirer, déclara le

is j

uillez vous retirer. D'autre

s ménagement par la pression de celles qui la suivaient

cceptiez de porter cette robe... Mille religieuses ont

nir aveuglante. Elle ressemblait à une créature dotée d'un million d'yeux ou, pire encore, à un nid grouillant d'insectes prêt à

s'avança derrièr

r auprès de Lord Gattingly ? Il paraît qu'il est en quête d'u

avec un sourire qui ne cachait rien de mon agacement.

tteigne le bout de la salle. Car ce fut, en effet, un moment scandaleux : moi-même, à vingt ans, je n'étais pas encore mariée - non par manque de préten

s revenaient, elles étaient méconnaissables, gonflées par les grossesses, vidées de leur jeunesse, étrangères à e

t soin de moi, pour les remplacer par des inconnues froides et disciplinées. Le mariage, dans le royaume d'Ere, n'était qu'un devoir pe

utre. Et encore une autre. Leurs doléances, leurs intrigues, leurs demandes défi

esse

esse

esse

d Palais, joyau orgueilleux de Vener, capitale des royaumes d'Ere. Il n'existait pas de refuge contre l'assaut constant des devoirs, des ob

illu

s femmes qui ne pouvaient approcher le roi directement se contentaient de me harceler,

d'autre le ferait ? Il fallait bien que la noblesse

esse

trône d'Ere. Et comme j'étais l'unique enfant de mon père, j'étais aussi la fin de sa lignée. Ma naissance fut perçue autant comme une bénédiction que comme une malédicti

esse

ivaient de son nom, allant de village en village pour raconter ses histoires. Le jour de son dix-huitième annivers

nce ne vint. Et

ent même plus. Des duels furent menés entre des prétendants qui n'avaient pas plus de chance de l'ép

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