LA VIE D'ADO

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que l'on n'entend pas, mais qu'

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ou à cause de ce que je m'apprête à entendre. Mon cœur cogne comme un tambour, et j'ai cette étrange impression q

ise de me voir. Au contraire, c'est com

re, Fa

les cheveux attachés. Ses yeux brillent, mais ce n'est pas de joie. C'est a

le en désignant le pet

l'air. Un parfum doux, rassurant.

avec ses doigts. Moi, je f

ue tu ressens. Tu crois

nds pas. El

aussi, j'ai grandi avec un v

ête. Son regard

Et moi... j'ai grandi sans mère. Du moins, c'est ce qu'on m'a toujours dit. Mais l'année der

court. Sa voix tr

Mais tu dois savoir que parfois... les

confession me to

murm

tu m'as jama

tu sois prêt. Parce que moi

sile

elle a

que je t'a

'est mon souff

temps à te refermer, à fuir ce que tu ressens. Même si tu sou

bat si fort qu'il me fait mal. Mon r

r avec toi dans les pires ténèbres. Même si je dois affronter des

ches douces, violentes, vraies. Je n'ai jamais su re

uffle

aimer comme toi. Mais si tu restes

ourire timide, fra

oment-là que la

qu'un ? je demande

es sourcils, s

ouvrir. Et là, m

st J

moi à Amélie, pu

aut qu'on par

st grave.

regarde,

-ce qu'il

'invite. Elle ferme la po

elui que Noël a vu. On a d

ille pliée de sa p

la p

n article de

mon monde

mme. Je l'ai vu. P

comme un oncle. Celui qui vivait à l'étranger et qui venait

une autre famille. Un autre fils. Une autre vie.

figé. Gel

s mes pieds

isit la main.

ne ressens

ide. Immens

s'impose dans mon esp

êt à affron