J'AI SIGNÉ UN PACTE AVEC LE DIABLE
out ce qui avait été, tout ce qui était. Il n'entendait plus rien, rien sauf le battement
r interminable. Ses yeux s'ouvraient dans ce vide qui paraissait infini, et il se demandait si,
a-t-il, mais ses pensées se heurtaient à une muraille, comme
voix lointaine qui murmurait des mots qu'il n'arrivait pas à saisir. Les murmure
Rya
ant à nouveau. Mais personne. Rien. Seulement
Rya
bres, mais plus proche cette fois. Il se précipita dans la direction du son, ses
l n'arrivait pas à distinguer les traits, mais il savait que cette apparition n'était pas
manda Ryann, la voix étra
Celui qui l'avait poussé à franchir ce seuil qu'il ne pouvait plus franchir en arrière. Il le
répondit l'homme, sa voix dénuée de toute émotion, co
de cet homme, mais il n'y avait rien à y lire. Seulement une obscurité profon
a plus de retour possible. Ce que tu cherches, ce que tu désires, tu
aient dans l'esprit de Ryan
x dire ? lui demanda-t-
mme s
n. Mais tu n'as jamais eu le choix, Ryann. Tu
volonté de résister, de briser ce lien qui l'empêchait de vivre librement. Il tenta de s'él
âme, ton essence même. Et maintenant,
Ryann. C'était comme si chaque cellule de son être se tordai
vre ainsi... murmura-t-il,
é de lui, son visage maint
penses, n'est-ce pas ? Mais tu n'es plus celui que
e déforma soudainement
u vas devoir appren
ulait hurler, mais aucun son ne sortait de sa gorge. Tout ce
plus basse, presque chuchot
jà englouti, Ryann. Et
enfer qu'il avait invoqué le rattrapan
lissa. Elle lui avait envoyé un message, mais ce n'était pas un simple message. C'était une déclaration. Elle lui
tisfaction de ses rêves se transformait lentement en une sensation amère, un poison qui s'infiltrait dans ses veines. Se
e. Un message de son ami d'enfance, Sadjid. "Ryann, qu'est-ce que tu as fait ? Tu n'es plus
avait l'amour. Il avait tout ce qu'il voul
. Ses camarades le regardaient différemment. À la maison, ses parents se réjouissaient de ses réussites. Mais Ryann savait que les dis
vait combler, un vide que chaque sourire et chaque réussite ne parvenaient pas à rem
u, dans un coin de sa chambre. Une silhouette sombr
ention de ce que tu voulais allait te rendre heureux. Mais tu as oublié
le jeune homme naïf qu'il était. Il avait
là ? Il se mit à trembler. J'ai
e ne so
yann. L'ombre te suit partout. Tu croyais avoir échappé à tout, mais tu es toujours prisonnier. L
ns ses tempes, la chaleur envahir son corps. C'était
ire ? demanda-t-i
un souffle. Tu as signé. Et mainten
fondant dans l'obscurité, laissant