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J'AI SIGNÉ UN PACTE AVEC LE DIABLE

Chapitre 4 L'OMBRE DU LABYRINTHE AUX YEUX VIDES

Nombre de mots : 2353    |    Mis à jour : 18/04/2025

qui ne présageait rien de bon. Ryann, allongé sur son lit, sentait une oppression indescriptible lu

se qui ne do

ale, comme si elles voulaient l'engloutir. Puis, un frisson glac

mure qui n'avait rien d'humain. Un murmure sifflant, s

... Tu e

se paralysèrent. Il voulut crier, m

, il

n visage... Non. Il n'avait pas de visage. Juste une bouche tordue

, il

ns la pièce. Chaque pas de la créature résonnait comme un écho

ir, mais il étai

ible, Ryann. Tu ne peux

venir, l'ombre

nn h

on ne sortit

és s'enfoncèrent dans sa poitrine comme des serres de rapace. Un froid indescriptible le

es à

ient. La réalité se fissurait. Des silhouettes noires rampaient hors des coins sombres, des b

tout s

sile

ce brisé

ri

cial, sinist

ouvrit

notaient faiblement, projetant une lueur malade sur le goudron craquelé. Des om

l regard

ang se

ue y étai

irale entourée d'inscriptions qu'il ne compren

Rya

tourna vi

sa éta

n'était

Ses yeux ét

s d'ombre

peux pl

*

rmi. Son souffle était court, saccadé, et une sueur glaciale perlait sur son front. Il tenta de b

e sortit de sa gorge. Une silhouette se dessina dans le coin de la chambre, une ombre mouvante aux yeux

nn... tu ne peux plus

débattre, mais son corps était comme cloué au lit. La pression sur sa poitrine s'accentua et

de sur la pièce. Il n'y avait personne. Juste son propre reflet dans le miroir

squ'il tenta de sortir de sa chambre, la poignée de la porte était glaciale. Une odeur de c

orme d'un homme aux cornes recourbées. Les murs semblèrent se refermer sur lui, la pièce dev

approche. Pr

ce message, mais une chose était certaine : le pacte q

*

pression sur sa poitrine, une sensation étrange qui lui disait que quelque chose d'horrible allait arriver. Depuis qu'il avait accepté le pacte, il était de

léphone, incapable de détacher son regard d'un mess

les ombres sans conséquences ?

oir une silhouette tapie dans l'obscurité. Mais il n'y avait que le vide. Pour

un bruit grinçant résonna – comme si quelqu'un traînait quelque chose de lourd sur le so

ans l'obscurité, ra

nce, maintenant,

e cette présence invisible qui le serrait avec une force terrifiante. Il tenta d'allumer son téléphone,

tout s'

sile

quelque chose d'horrible : une phrase écrite

enant certain d'une chose : le pacte était bien r

bscurité avait une signification bien plus effrayante. C'était une nuit sans lune, où les rues étaient sile

tion plus violente que tout ce qu'il avait connu auparavant. La dernière fois qu'il avait vu l'homme mystérieux, il avait vu son reflet dans les y

nt lui. Il s'arrêta net, son esprit se figeant. Le cœ

ix basse, presque inaudible, qui semb

cybercafé. L'homme aux yeux glissants, qui semblait

'une voix tremblante. Qu'e

t marquerait une autre étape dans son voyage torturé. Le pacte qu'il avait signé n'était qu'un déb

haque pas résonnant dans le silence de la nuit. Tu as c

chose l'en empêchait. Ce pacte, cet enchaînement de choix, le liait de manière inexplicable à c

nt sur son t-shirt, comme si un fil invisible le tirait

oid et sinistre, qui résonna dans l

out le monde veut réussir, mais peu comprennent à quel prix. La puissan

s'échapper, mais une force invisible le retenait en place. Ses jambes ne répondaient plus, ses muscles se bloquaient sous l'effet de la peur et de

nn, dit l'homme d'une voix sourde, presque

vant, un rêve où il se retrouvait perdu, enfermé dans un dédale de couloirs sans fin, chaque porte menant à une impasse, chaque direction le

sol. Les traits de son visage semblaient se dissoudre dans les ténèbre

es ombres se mirent à bouger. Elles dansaient comme des serpents sinueux, s'ent

s la pression était trop forte, et il ne pouvait s'empêcher de regarder, hypnotisé

is regarde autour de toi, Ryann. Tu n'es rien d'autre qu'u

rer dans un abîme sans fin. Il ferma les yeux, essayant de se concentrer, de comprendre ce qui lui arrivait. Il s

ait des murmures, des voix basses et indistinctes, des sons qui semblaient provenir de l'au-delà. Il n'arrivait

de puissances plus grandes que toi. Ces ombres que tu vois... ce ne sont pas juste des hallucinations. Ce so

à respirer. Il tenta de faire un pas en arrière, mais ses pieds restaient collés au sol, comme si des racines invisibles l'avaient pié

alut. Accepte ce qui est en train de se produire. Tu

e volonté, il ferma les yeux et tenta de rassembler toute l'énergie qu'il avait. Il savait que s'il restait l

age et de terreur, se lança dans le vide, déf

sembla se figer. Le temps sembla s'arrêter,

rurent, et Ryann tomba au sol, haletant, couvert de sueur froide. Il ouvrit les yeux lentement, et to

ait plus à ses côtés. Il n'y a pas d'échappatoire, Ryann. Tu

ait réel, ni de ce qui l'attendait. Mais une chose était sûre : il était désormais pris dans u

u'un avertissement. Elles ne le

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