Coeurs à l'unisson

YS

a situation. Rien de bon ne sortira de cette soirée. Mon père, ce putain de lâche, me vend à la mafia Conti. Quelle ironie ! Je sais que nous ne nous connaissons que

e regarder, avant de se tourner vers mon père, scrutant son visage avec une intensité glaciale. Un f

rdonne-t-il d'une voix

la panique. Il commence à supplier Damon,

Acceptez mon offre, s'il v

yeux pétillants de dédain, comme s'il s

ndrons la fille. Mais tu dois bien comprendre q

a hauteur, et je peux voir le dédain

sais un misérable rat s'en sortir sans égratignur

comme si la simpl

eux pas laisse

ostume impeccable de sa main, une

r comme un homme pour une f

n mouvement pour emmener mon père dehors. Le colosse qui le tenait le lâche à d'

ous baiser sans conséquences. Mais... ne le tue

ort rejoindre les autres, laissant mon père aux mains de ses acolytes

éalise l'ampleur de ce qui vient de se passer. Je suis coincée dans un jeu d

dans l'air est palpable et je sens le regard de Damon

ve-t

pendant si longtemps. Ce n'est qu'à ce moment-là que je prends pleinement conscience de la tenue dans laquelle je me trouve. Je porte un tee-shirt larg

ndex sous mon menton pour me relever la

me demande-t-il, sa voix

a gorge. Je m'éclaircis la voix, tentant

eys

t la tête, comme s'il tentait de déchi

ne pas vrai

re, toujours prêt à juger ce qui est « authentique » ou non. Il reste silencieux, continuan

tte contre le cancer. Ma mère m'a appelée comme elle pour lui rendre hommage. Mon grand-père était fou de rage à cause de cela, alors

coin, un rictus qui ne fait

ue je n'aurais jamais dû laisser entrebâillée. Personne, en dehors de mon grand-père, de ma mère et de mon père, n'était au courant de mon

tiellement mis ma vie en danger. Les conséquences de mes mots pourraient être plus dangereuses q

ersonne avec une intensité qui me met mal à l'aise. Je sens mon cœur battre plus vit

en fermant les yeux, comme s'il s'imprégnait de mon odeur. Sa proximité me coupe le souffle. Son visage

gs sur le dessus, il dégage une aura de puissance. Ses pommettes saillantes, son nez droit et élégant, un g

mes goûts. Mais soyons honnêtes : ces hommes ne connaissent pas l'amour. Ils ne connaissent que la force. Dans leur monde, il faut obéir au doigt

n, un paradoxe qui me laisse désorientée. Je suis prise au piège, à la merci d'un homme qui semble incarner tout ce que je redoute et ce que