Véronica, Ma Malédiction
te, captive immédiatement l'attention. Ses yeux, des fenêtres mystérieuses sur son âme, scintillent sous les projecteurs. Un sourire énigmatique se dessine sur ses lèvres, tandis
e sensualité. Ses cheveux, une cascade soyeuse, et ses lèvres, douces comme le miel, complète
ne voudrait pas se perdre dans cette aura magnétique ? Les murmures autour de moi confirment que je ne sui pas seul
étudiante, captivée par cette femme dont la beauté semblait défier la réalité. Aujourd'hui, je prétends que
antasmes similaires. Ils ne voient en elle qu'un objet de désir, réduisant sa complexité à des parties de son c
onne derrière le mythe. Je me blâme aussi, car malgré tout, je suis incapable de détourner le regard. Veronica Romer
onica Romero avance sur le tapis rouge avec une lenteur calculée, chaque pas résonnant comme un écho de son pouvoir.
reprend sa marche, je fais de même. Chaque mouvement de ses yeux, chaque sourire, chaque inclinaison de ses épaules est scruté, analys
ne question qui la fait rire. Elle lui tapote l'épaule, laissant glisser sa main le long de son bras dans une caresse délibérée. S
s'approche, signant des autographes, posant pour des selfies, acceptant leurs étreintes et leurs mots d'admiration. Elle
ire, une autre photo à poser, un autre fan à saluer. Veronica Romero, maîtresse du tapis rouge, laisse derrière
e je me demande comment il
bat au rythme de ses pas, cherchant désespérément à capter son attention, à posséder ne
nexorablement du bâtiment, échappant à ma vue. Elle ignore ma
çu. Que je ne suis pas venu ici, dans cette folie d'une sortie de film, parce
yant la foule jusqu'à ce qu'ils se posent sur
ent. Plus rien n'existe hormis elle et moi, et
res rouges et ses yeux envoûtants, je sais q