Véronica, Ma Malédiction

el elle est célèbre. Sa main est à sa gorge, ses doigts jouant

nt ce que j'espé

ce n'est pas facile. Surtout quand je réalise que je vie

x féminine annonçant : « Nous sommes

espérant avoir bien retenu son

ue non, je n'ai pas retenu son nom correctement. Zut. Avec toutes ces séances photo e

s compliqué. Parfois, j'ai de la chance si je me souviens du mien.

ne ne mérite de se sentir invisible. Surtout dans ce milieu où il y a to

ir qui occupe presque tout un mur de cette pièce rarement utilisée. Je me fige un instant, puis

ague de panique, de plus en pl

uement. Retiens ton souffle pendant se

etiens sept secondes,

ux fermés, concentrée sur les mots, les act

chose dont j'ai besoin, c'est que quelqu'un sur le plateau raconte que Veronica Romero perd pied. Mon agent

dorerait que je sois surpris

a soigneusement construite pour moi, c

j'ouvre les yeux et me redresse. Je me retrouve

pouces posés près de ma chaise. Ces talons que non-Juliette m'avait apportés plus tôt, affirmant que l

int ils sont trop petits, pinçant mes orteils

e peux supporter les chaussures, le costu

flet sous tous les angles. Je me tourne à droite, à gauche, fais face au miroir, puis jette un coup d'œil par-d

ette séance photo vintage de Vanity Fair que même moi, je

mais cette fois, je suis prête

ui est et n'est pas moi. Je trace les boucles élabo

la beauté peut être si fr

tout fait pour l'obtenir. J'aurais même vendu mon âme pour incarner cette femme

tournage. Fou de penser à quel point je désirais ce rôle, dès que j

réalisateur, ou un feu vert garanti pour le projet. J'ai lu la couverture du livre d'Ian une douzaine de fois, parcouru In

l point je

déteste ce rôle plus que je ne l'avais désiré

incarne. Je me glisse sous leur peau, joue à l'intérieur d'eux, es

s. Voleur de voitures. Princesse.

té tou

peau, me hanterait et ne laisserait derrière lui que des cauchemars, des sueurs froides

ifique costume des années 1950 et défait les boucles épinglées, j

la tête aux pieds, sans nulle

ette appelle : « Est-ce que tout va bien, Mme Romero ? Pui

que, n'est-ce pas, comment la célébrité vous prive de votre voix au lieu de vous en donner u

les épaules droites et le sourire aux lèvres. En ouvrant, je vois

vement dans mes bras. « Et je suis désolée pour la confusion avec votre nom tout à l'heure