Le boss, la tentation
En fait, personne n'avait jama
e pour son choix de mobilier. Peu lui importait qu'il n'ait probablement pas participé à son choix. Il ne s'asseyait jamais ici,
même réduite à ingérer des produits chimiques, réalisa-t-elle. Elle était en si bonne santé avant, mais maintenant ? Elle n'avait plus le temps d'aller faire les course
es corriger. Toutes les analyses qu'elle soumettait n'étaient ni assez approfondies ni assez longues. Et lorsqu'elle tentait de se faire aider par quelq
utres ne percevaient-ils pas la personnalité charmante de Mitch Powell ? Qu'avait-il montré au monde extérieur ? Elle reconnaissait qu'il était étonnamment beau, avec sa silhouette grande et virile et l'intelligence qui la justifiait. Mais ils devraient parler à ceux qui frissonnaient dans leurs
à la table au lieu de la fixer. Tandis qu'elle fixait l'objet inanimé, un profond regard Au fond d'elle-même, elle savait qu'ignorer le message ne ferait qu'empirer les choses. Elle se frotta le front, essayant de rassembler la force
travail. Elle ne pouvait pas ignorer le message. Les mains tremblantes, elle prit son tél
transmis ces rapports de personnel pourris plus tôt que prévu. Juste un h
iser les informations, sachant que cet homme avait un cerveau capable de mémoriser les moindres détails. Elle s'était assurée que toute
-ce qui pouvait bien leur poser problème ? Elle avait analysé tous les graphiques demandés, extrait des données supplémentaires pour vali
e pas à terminer son « repas », aussi pathétique fût-il, car elle était trop en colère et pleine de ressentiment po
a, comptant jusqu'à vingt cette fois, en respirant profondément. Elle avait appris cette technique très tôt en travaillant avec Mitch Powell. Elle refu
émissionnerait ! Elle quitterait cette entreprise stupide et... quoi ? Ses pas hésitaient lorsqu'elle entra dans l'ascenseur. Elle hésita à appuyer sur le bouton qui ferait monter la cabine au dernier étage, inquiète de la pro
ma
e, fit les cent pas, respirant profondément. Elle pouvait y arriver ! Elle pouv
avait absolument pas besoin de faire partie de cette foule insipide. C'était une foule rampante et ignorante qui ne connaissait pas l'homme méprisable qui se cachait sous... Elle hésita, n'ayant pas envie de le complimenter p
paules impressionnantes à plusieurs reprises ces derniers temps. Elle devait aussi lui reconnaître le mérite de faire du sport. Les autres hommes du bureau avaient
ualifier de « musclé ». Pas e
ès bel ange, et regardez où il vit mainte