Entre ombres et espoirs :La quête de la vérité
enêtres de la maison d'Élise, traçant des sillons qui brouillaient la lumière timide du matin. Assise à son bureau, le regard perdu dan
ire dans ses yeux. Derrière lui, le bateau qu'il chérissait tant se tenait fièrement, les voiles blanches gonflées par le vent marin. Élise se so
" avait-il dit, les mains posées sur le gouvernail. "Nou
que ce jour viendrait. Aujourd'hui, il ne lui restait que cette photo, c
r qu'il semblait possible de toucher les étoiles. Élise, fraîchement arrivée dans cette petite ville côtière pour y commencer un travail comme restauratrice d'œuvres d'art, ne
ici, n'est-ce pas ?"
?" avait-elle répliqué
uvais observateur, mais ça, je ne
miers instants. Thomas, avec sa passion pour la mer et ses récits de voyages maritimes, avait ouvert un monde nouvea
uprès d'Antoine, un objet qui semblait murmurer des vérités oubliées. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander combien de se
t qu'il jouait un rôle dans tout cela, mais son comportement ambigu laissait plus de question
s lettres, et les souvenirs de leurs escapades, une carte attira son attention. Une vieille carte maritime, annotée de l'écriture soignée de Thomas. Elle la déploya sur sa table, d
une phrase écrite en rouge : "Le silence c
resque résonner avec ce qu'Antoine lui avait dit. Elle sortit son téléph
n la poussa à retourner à l'atelier d'Antoine,
porte était à nouveau entrouverte. Avec précaution, Élise entra. La pièce était plongée dans l'obscurité, mais un faib
nnées, et des notes en abrégé. Mais ce fut une photo insérée entre deux pages qui la fit s'arrêter brusquement : une photo
plus vite. Une annotation au dos de la photo attira
rent derrière elle. Elle se retourna brusquement, son souffle coupé. Antoi
ça," dit-il calmement, mais avec une dure
tre elle. "C'est toi qui cache des choses, Antoine. Ce symbole, cette
ntement, mais ne répo
ise. Tu ne comprends pas ce que tu
ration éclatant dans sa voix. "Dis-moi ce qui est arrivé à
son expression indéchiffrable. P
oi ce carn
ecula, refus
e tu ne me dis
lat dans son regard trahit
inalement. "Si tu veux
depuis des années, était rempli d'outils rouillés et d'anciennes caisses marquées par l'usure du te
veux savoir est
clé. Mais quelque chose dans son attitude la dérange
. À l'intérieur, des documents, des objets personnels de Thomas
est ?" demanda-t-el
s essayait de protége
si tout cela n'était qu'une autre manipulation ? Antoine était peut-être en train de l'orienter vers une fausse piste, la menant plus loin de la
vait espéré trouver des réponses claires, mais tout ce qu'elle voyait ne faisait qu'éveiller davantage de questions. Les documents s
e que tout ça signifie," lança-t
s de la caisse, la regarda l
dépassait. Il ne savait pas dans quoi il s'engage
toujours savoir tout ce que je ne sais pas ?
s yeux, comme s'il
u... quelque chose qu'il ne devait pas v
lui, tenant un document qu'elle venait d'extraire de la caisse : un reçu d'expéditio
? Qui sont ces gens qui semblent contrôler tout ce q
une main nerveuse
questions, tu risques de... attirer
oteurs résonnèrent dans la nuit. Antoine, soudain tendu, éteig
t," murmura-t-il, sa
es, et bien qu'elle ne puisse pas entendre leurs mots, elle sentait une tension palpable dans l'air. Antoine sem
ent le hangar, et les moteurs s'éloignèrent dans la nuit. Ant
n t'a suivie," d
Élise, bien que son esprit commenç
de questions," répondit-il,
estations. Tout au long du chemin, elle ne put s'empêcher de repasser en boucle les événements de la soirée : la
n la maison, Antoine se tou
oi de laisser tombe
ecoua
oine. Thomas mérite qu
" murmura-t-il, avant de tourner les
t pu emporter discrètement du hangar et tenta de les analyser. Certains semblaient liés à des itinéraires maritimes, d'autr
la clé. Valmont est l
revenait sans cesse dans cette enquête. Si c'était le début, comme le disait cette note
telier, où il se tenait devant son bureau, les mains tremblantes. Il ouvrit u
ura-t-il, ses yeux fixant le visa
t par découvrir ce qu'il avait fait. Mais il espérait pouvoir retarder ce moment aussi longt