Masques interdits

ait désormais plus étroite, plus oppressante. Elle était ouverte, oui, mais il n'y avait pas de retour possible. Le mystère autour de l'entreprise En

es, une âme prisonnière des ombres de ce monde qu'ell

té d'une lueur jaune-orangée, un coucher de soleil qui paraissait bien trop paisible pour la tempête qui se préparait dans leurs vies. Les lumières de la ville brillaient

aiment. Mais Gabriel était là, implacable, silencieux, comme une énigme qu'elle ne pouva

que ce pouvoir... ce cristal avait un but. Mais qu

e si une partie de lui-même avait disparu dans les abîmes du secret. Il hésita un instant, puis s'avança lentement vers elle. Il n'

ent. Un fragment d'un pouvoir bien plus grand que ce que l'on peut concevoir. Il a été créé il y a des siècles, bien avant la naissance de ce

u'ils le connaissaient. Ce n'était plus une simple histoire de costumes magiques, de masques

? demanda-t-elle, la voix trem

pensées, puis il la fixa. Il y avait une douleur cachée dans s

un ordre nouveau, un monde où leur pouvoir sera absolu. Et nous.

e, des secrets inoffensifs. Mais ce cristal, ce pouvoir, ce n'était pas un simple artefact. C'était l'élément déclencheur d'une guerre, une guerre e

iel, cherchant un peu de réconfort dans sa prése

? demanda-t-elle, sa voix rauque, pleine d'un

guement, son regard se

s faut plus que des réponses. Nous devons nous armer, Lina. Non seulement contre ce

cloche d'alarme qu'elle ne pouvait ignorer. Ce n'était pas un simple choix entre rester ou fuir. C'était un cho

e. Nous devons comprendre pourquoi ce pouvoir existe, pourquoi il a été

rcer son âme. Puis, lentement, un léger sourire naquit s

'abandonnes jamais. Mais sois prête. Ce qu

r la table, et Lina savait, au fond d'elle-même, qu'il était bien plus qu'un simple artefact magique. Il était la clé d'un mo

ecrets ne cesseraient de surgir, où les mensonges se dévoileraient, et où

ise, là où les affaires internes prenaient une tournure plus complexe, loin des regards extérieurs. L'ombre du cristal, omniprésente, sem

fois qu'elle croisait l'un de ses collègues, elle se demandait s'ils savaient ce qui se tramait en coulisses. L'atmosphère dans les bureaux était étrang

urs aussi énigmatique, aussi fermé, comme une forteresse qu'elle n'arrivait pas à pénétrer. Il avait ses propres démons, et ell

eçut un message crypté sur son téléphone. Le texte était court, mais lourd de sens : "L

t un sens, une signification cachée derrière ces mots. Qui était l'aut

re bien plus grave que ce qu'elle avait imaginé. Les menaces, les avertissements,

enfin, dans une salle de réunion presque vide, elle se sentit soulagée de le vo

'une voix tremblante. J'ai reçu un message. Un avertiss

, prenant ses mains dans les siennes, comme pour la rass

n plus de factions que nous l'imaginions. Ce cristal, il n'est pas juste un artefact. Il est la clé d'

urna pas les yeux. Elle devait comprendre, elle de

eux dire, exactement

oua lenteme

r. Et ils savent que nous avons mis la main sur un fragment. Ce message que tu as reçu... il vient probablement d'un de ce

venait d'entendre. Ce n'était plus une simple question de loyauté envers son entreprise. Elle était désorm

? demanda-t-elle, sa voix plus ferme, ma

n regard perçant, comme s'il pe

cristal, il faut le protéger à tout prix. Et si ce n'est pas possible, nous de

ation, plus de place pour les compromis. Elle n'avait jamais voulu être une héroïne, ni une espi

roulée. Il la déplia lentement, révélant des symboles gravés en latin, des runes a

ue encore trop de pièces du puzzle. Ces groupes, ils connaissent les

ge dont l'issue était incertaine. Mais quelque chose dans l'intensité de Gabriel, dans sa d

ande inspiration

pièces. Mais ensemble. Et quoi qu'il arrive, j

'émotion traversant son regard,

, dit-il s

un destin plus grand qu'ils ne l'avaient imaginé, un destin où chaque décisi