Ça passe où ça casse, il sera à moi saison 1&2
Riad
e quitte le lit, encore noyée de sommeil. Je me sens tellement mal, mais je n'ai pa
nde ; je n'aurais pas dû autant m'introvertir dans sa relation en essayant de lui
pardonne-moi, lançai
eau est excellente, très froide, pour me débarrasser de toutes mes écailles p
t tout doucement mes oreilles de ma voix
ds! Je quitte ma chambre, le sac mal arrangé. En pressant le pas, je trouve ma mè
éjeuner ? me propose-t-elle en
ur ma montre pendant quelques secondes. Je tends les yeux vers ma mère.
table, puis je me précipite vers la so
petites minutes qui te mettront en retard
vres, lui donnant un énorme baiser de reconnaissa
euse journée et surtout, apporte-moi d'e
ment, je cesse de sourire et m'éloigne d'elle t
rend tout de suite que quelque chose ne va pas. Son sour
e que ça va ?
is désolée, à bientôt, j
je n'arrive pas à accepter la séparation de mon père et de ma mère. Dans le jardin, je cont
e-t-il avec c
les verres pour les ranger dans la cuisine. Bientôt, elle doit se rendre à son
rochent à leurs parents. Quant à moi, je suis démoralisée, triste d'être loin de mon père, car je n'
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e est la première personne que je veux voir, car j'ai prévu de m'excuser auprès d'elle à
Je me sens aussitôt vide de cette énorme énergie
éjà en route. Ah, j'espère qu'
e petite mésentente entre elle et moi, je la veux avec
lheureusement, j'ai encore des migraines qu
e. L'heure du premier cours approche à grands pa
Il est bientôt 8 heures pourtant,
ant ne pas voir d'enseignant. Je reviens vers mon téléphone
le numéro de Marlène, qui sonne à peine. Je fais l
ines tentatives. Ôh mon Dieu, peut-être qu'elle m'a bloq
très inhabituel. Le temps file et, à chaque
va bien, dis-je en pensant a
ul de penser à quelque chose de négatif à chaque fois. Je su
er saine d'esprit. Je ne parviens pas à rester calme ; j'ai
nuls ; ils se réalisent toujours,
vue. Soudain, en me retournant, par hasard, je croise le
tte façon ? murmure-je doucement
sens le pire arriver. Je suis très inquiète à son propos ; cette inquiétud
sse après la sonnerie. Je range rapidement mon té
et l'autre homme, Cabral, que je ne connais pas très bien. D'ail
e ! lançai-je d'un
e, et très stressée. Les deux hommes veulent s'entretenir
re Dumas, portant sur son visage un air triste.
r ce message. Je me demande ce
onte, celui-là ? murm
pour écouter ce qu'ils ont à nous dire. Leurs visages mont
le décès de Mademoiselle Marlène Louisiane du Forchet, décédée par balle hier soir. Son corps a été retrouvé d
le regard inondé de larmes, qui
ôt dans ma tête un vertige, un effondremen
de ce que les deux hommes disent sur Marlène n
! C'est de la pure invention ! Pas Marlène, non, elle
t-là, des réponses qui ne viennent pas. À ma place sur mon banc, je cogite comme une malade.
s Marlène, non ! Pourquoi, pourquoi si tôt ? Je n'ai même pas eu l
lasse, s'en vont. Tandis que Christian m'observe depuis un bout
nt à ma table, portant sur son visage un r
il dans le silence que j
plus de mal. Je suis mal dans ma peau, je ne suis plus moi-même. Je devie
, à me regarder sans ouvrir la bouche. Entre ses m
l finit par poser sa main glacée sur mon visage,
'est horrible ce qui arrive à Marlène. Pour quelle raison s'est-elle fait tuer de cette manière
la dernière mèche, mais il m'est impossible d'arrêter de pleurer. Il ne laisse ja
aintenant arrêter de pleurer, s'il t
ds mes yeux vers lui et dis : rien ne va, Christian. Baisant de nouveau l
s étiez proches, mais tu ne dois pas te faire du
pleurer pour ça ? lui demande-je en serrant mes lè
. Elle compte énormément pour moi, Riade, me dit-il e
e est vraiment morte ? demandai-je, s
rd perdu, perplexe, qui me
toujours dans nos cœurs. Elle est gravée
gentil, tu sais. C'est ça
Riade. Allez, vie
up en sécurité et très à l'aise. C'est ce qu'il me fallait. Il
semble énervée et n'arrive pas à avaler cett
très fort dans sa tête. Elle me haït parce que son mec
e quel bois je me chauffe ! dit-elle d'une voix basse sans
elle dit en posant sa main sur l'épaule de Christian, qu
s de m'aider avec les devoirs ce so
x vers Lolita,
is avec Riade ? Elle a besoin de réconfort e
Christian ? Mais tu me l'av
ble, Lolita. Ne vois-tu pas q
ntion de gâcher leur petit truc organisé entre eux, alor
as être la cause de vos problèmes de couple. S'il te
t bien se débrouiller,
nt qu'elle va accepter ça comme
ristian, répond-elle en
ux vraiment me débrouiller to
hésite pas à me donner un bais
n soin de toi, s'il te pla
e. Je la prends en souriant, nourrie d
Merci d'avoir été là
entôt,
de la main, puis je replonge
fficile et en même temps d
** LOLI
ça se voit qu'il veut rester avec cette peste de Riade. Il pense vraiment que je suis une idiot
e ne suis pas dupe. J'en sais beaucoup sur lui et ses intentions. Cependant, je l'arrête avec ma
as au courant ? lançai-je en
râce, je ne suis pas d'humeur, d'ac
ristian ? Tu la désires autant que moi ?
ité, mais il ne me facilite pas la tâche. Il semble très diffic
est pas le moment, se défend-il en passant plu
nard ! Tu pensais à quoi, Christian ?
tu encore, Lolita ? demand
penses que je ne vois pas à quel point tu es doux et attentionné avec elle ? dema
ucs, je voulais juste l'aider, c'e
de mentir, toi ? Non mais tu fais e
h, je vois, je comprends, c'
n, imbécile. Moi, jalouse
Sinon, pourquoi te comportes
me traites d'obsédée ? Donc pour toi, je dois avale
n, Lolita
? Je te détes
sommes en pleine rue. Tu
ui vas te tai
prendre un café à côté et, une fois l
pauvre con, va t
pris en flagrant délit, il continue de nier encore et en
l reste cloué sur le goudron, sans faire un pas, me regarda
fille, dit-il en prenant un aut
passées entre lui et moi. Plus je m'éloigne de lui, plus je regrette mon acte. Je me se
*** Ria
rer chez moi, marchant nonchalamment dans les
re fois de ma vie , je marche seule ...Je sens un vid
evient très douloureux de porter cette douleur dans mon cœur. Quand je pense qu'avant la mort de Marlène, nous nous baladions tou
tos en restos. Quand je pense que tout ça est
jour, moi, Riade, j'allais faire une ligne droite
défiler. Quand soudain, je sens ce liquide rejaillir à nouveau de mes yeux, tout do
u premier arrêt, je descends et continue à marche
ndre compte. Il y a ma mère qui fait un
outeille de limonade dans ses mains. Elle vient vers moi,
y a quelque chose de pas normal dans mon
st à savoir si Riade lu