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Ça passe où ça casse, il sera à moi saison 1&2

Chapitre 2 Un amour inavoué

Nombre de mots : 3425    |    Mis à jour : 05/04/2025

Riad

e quitte le lit, encore noyée de sommeil. Je me sens tellement mal, mais je n'ai pa

nde ; je n'aurais pas dû autant m'introvertir dans sa relation en essayant de lui

pardonne-moi, lançai

eau est excellente, très froide, pour me débarrasser de toutes mes écailles p

t tout doucement mes oreilles de ma voix

ds! Je quitte ma chambre, le sac mal arrangé. En pressant le pas, je trouve ma mè

éjeuner ? me propose-t-elle en

ur ma montre pendant quelques secondes. Je tends les yeux vers ma mère.

table, puis je me précipite vers la so

petites minutes qui te mettront en retard

vres, lui donnant un énorme baiser de reconnaissa

euse journée et surtout, apporte-moi d'e

ment, je cesse de sourire et m'éloigne d'elle t

rend tout de suite que quelque chose ne va pas. Son sour

e que ça va ?

is désolée, à bientôt, j

je n'arrive pas à accepter la séparation de mon père et de ma mère. Dans le jardin, je cont

e-t-il avec c

les verres pour les ranger dans la cuisine. Bientôt, elle doit se rendre à son

rochent à leurs parents. Quant à moi, je suis démoralisée, triste d'être loin de mon père, car je n'

:20

e est la première personne que je veux voir, car j'ai prévu de m'excuser auprès d'elle à

Je me sens aussitôt vide de cette énorme énergie

éjà en route. Ah, j'espère qu'

e petite mésentente entre elle et moi, je la veux avec

lheureusement, j'ai encore des migraines qu

e. L'heure du premier cours approche à grands pa

Il est bientôt 8 heures pourtant,

ant ne pas voir d'enseignant. Je reviens vers mon téléphone

le numéro de Marlène, qui sonne à peine. Je fais l

ines tentatives. Ôh mon Dieu, peut-être qu'elle m'a bloq

très inhabituel. Le temps file et, à chaque

va bien, dis-je en pensant a

ul de penser à quelque chose de négatif à chaque fois. Je su

er saine d'esprit. Je ne parviens pas à rester calme ; j'ai

nuls ; ils se réalisent toujours,

vue. Soudain, en me retournant, par hasard, je croise le

tte façon ? murmure-je doucement

sens le pire arriver. Je suis très inquiète à son propos ; cette inquiétud

sse après la sonnerie. Je range rapidement mon té

et l'autre homme, Cabral, que je ne connais pas très bien. D'ail

e ! lançai-je d'un

e, et très stressée. Les deux hommes veulent s'entretenir

re Dumas, portant sur son visage un air triste.

r ce message. Je me demande ce

onte, celui-là ? murm

pour écouter ce qu'ils ont à nous dire. Leurs visages mont

le décès de Mademoiselle Marlène Louisiane du Forchet, décédée par balle hier soir. Son corps a été retrouvé d

le regard inondé de larmes, qui

ôt dans ma tête un vertige, un effondremen

de ce que les deux hommes disent sur Marlène n

! C'est de la pure invention ! Pas Marlène, non, elle

t-là, des réponses qui ne viennent pas. À ma place sur mon banc, je cogite comme une malade.

s Marlène, non ! Pourquoi, pourquoi si tôt ? Je n'ai même pas eu l

lasse, s'en vont. Tandis que Christian m'observe depuis un bout

nt à ma table, portant sur son visage un r

il dans le silence que j

plus de mal. Je suis mal dans ma peau, je ne suis plus moi-même. Je devie

, à me regarder sans ouvrir la bouche. Entre ses m

l finit par poser sa main glacée sur mon visage,

'est horrible ce qui arrive à Marlène. Pour quelle raison s'est-elle fait tuer de cette manière

la dernière mèche, mais il m'est impossible d'arrêter de pleurer. Il ne laisse ja

aintenant arrêter de pleurer, s'il t

ds mes yeux vers lui et dis : rien ne va, Christian. Baisant de nouveau l

s étiez proches, mais tu ne dois pas te faire du

pleurer pour ça ? lui demande-je en serrant mes lè

. Elle compte énormément pour moi, Riade, me dit-il e

e est vraiment morte ? demandai-je, s

rd perdu, perplexe, qui me

toujours dans nos cœurs. Elle est gravée

gentil, tu sais. C'est ça

Riade. Allez, vie

up en sécurité et très à l'aise. C'est ce qu'il me fallait. Il

semble énervée et n'arrive pas à avaler cett

très fort dans sa tête. Elle me haït parce que son mec

e quel bois je me chauffe ! dit-elle d'une voix basse sans

elle dit en posant sa main sur l'épaule de Christian, qu

s de m'aider avec les devoirs ce so

x vers Lolita,

is avec Riade ? Elle a besoin de réconfort e

Christian ? Mais tu me l'av

ble, Lolita. Ne vois-tu pas q

ntion de gâcher leur petit truc organisé entre eux, alor

as être la cause de vos problèmes de couple. S'il te

t bien se débrouiller,

nt qu'elle va accepter ça comme

ristian, répond-elle en

ux vraiment me débrouiller to

hésite pas à me donner un bais

n soin de toi, s'il te pla

e. Je la prends en souriant, nourrie d

Merci d'avoir été là

entôt,

de la main, puis je replonge

fficile et en même temps d

** LOLI

ça se voit qu'il veut rester avec cette peste de Riade. Il pense vraiment que je suis une idiot

e ne suis pas dupe. J'en sais beaucoup sur lui et ses intentions. Cependant, je l'arrête avec ma

as au courant ? lançai-je en

râce, je ne suis pas d'humeur, d'ac

ristian ? Tu la désires autant que moi ?

ité, mais il ne me facilite pas la tâche. Il semble très diffic

est pas le moment, se défend-il en passant plu

nard ! Tu pensais à quoi, Christian ?

tu encore, Lolita ? demand

penses que je ne vois pas à quel point tu es doux et attentionné avec elle ? dema

ucs, je voulais juste l'aider, c'e

de mentir, toi ? Non mais tu fais e

h, je vois, je comprends, c'

n, imbécile. Moi, jalouse

Sinon, pourquoi te comportes

me traites d'obsédée ? Donc pour toi, je dois avale

n, Lolita

? Je te détes

sommes en pleine rue. Tu

ui vas te tai

prendre un café à côté et, une fois l

pauvre con, va t

pris en flagrant délit, il continue de nier encore et en

l reste cloué sur le goudron, sans faire un pas, me regarda

fille, dit-il en prenant un aut

passées entre lui et moi. Plus je m'éloigne de lui, plus je regrette mon acte. Je me se

*** Ria

rer chez moi, marchant nonchalamment dans les

re fois de ma vie , je marche seule ...Je sens un vid

evient très douloureux de porter cette douleur dans mon cœur. Quand je pense qu'avant la mort de Marlène, nous nous baladions tou

tos en restos. Quand je pense que tout ça est

jour, moi, Riade, j'allais faire une ligne droite

défiler. Quand soudain, je sens ce liquide rejaillir à nouveau de mes yeux, tout do

u premier arrêt, je descends et continue à marche

ndre compte. Il y a ma mère qui fait un

outeille de limonade dans ses mains. Elle vient vers moi,

y a quelque chose de pas normal dans mon

st à savoir si Riade lu

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